Nouvelles brèves


Western Star intégrée à la filiale Sterling Truck de Freightliner LLC
Freightliner LLC, filiale de DaimlerChrysler AG, annonçait récemment que l'acquisition de la totalité des actions en circulation de Western Trucks Holdings avait pris fin. Freightliner a fait l'acquisition de cette entreprise pour la somme de 453 millions de dollars américains.

Western Star sera intégrée à la filiale des véhicules commerciaux de Freightliner, Sterling Truck Corporation. La marque Western Star continuera à être exploitée comme une gamme de produits distincte sur le marché et les réseaux de concessionnaires des deux entreprises seront reconfigurés de façon optimale partout en Amérique du Nord afin d'offrir à la clientèle des possibilités de service et de soutien accrues.

Grâce à cette entente, Freightliner acquiert également un des principaux constructeurs d'autobus urbains lourds en Amérique du Nord, Orion Bus Industries. Les produits et la marque de commerce Orion seront toujours présents sur le marché et le groupe des véhicules spécialisés de Freightliner, qui comprend les autobus Thomas, American LaFrance and Freightliner Custom Chassis Corp, soutiendra l'entreprise.

Comme l'a déclaré le président de Freightliner, Jim Hebe, &laqno;une fois intégrée, l'entreprise sera très spécialisée et n'aura aucune difficulté à répondre aux besoins particuliers du client commercial et du propriétaire-exploitant».

&laqno;Les marques et les produits Western Star et Orion sont des compléments exceptionnels à la gamme de camions et d'autobus de Freightliner LLC, a-t-il ajouté. Nous offrons à nos clients non seulement les solutions les plus complètes pour ces types de véhicules, mais aussi le réseau de distribution et de service le plus étendu en Amérique du Nord.»

L'ajout de la gamme de camions Western Star s'inscrit dans la stratégie de Freightliner consistant à offrir une gamme de produits complète aux propriétaires- exploitants et à accroître celle des camions commerciaux de l'entreprise. L'ajout de la gamme des autobus Orion à la gamme actuelle des autobus Freightliner consolide la stratégie de Freightliner et de sa société mère DaimlerChrysler visant à devenir le plus important constructeur d'autobus urbains en Amérique du Nord. Grâce aux autobus Thomas et Orion, Freightliner fabrique une gamme complète d'autobus d'écoliers, commerciaux et urbains.

«Nous avons l'intention de tirer parti de nos synergies en matière de conception, de fabrication, d'achat, de soutien au marché des pièces de rechange et de réseaux de concessionnaires, a fait remarquer M. Hebe. Nous prévoyons que cette situation nous permettra non seulement de renforcer nos gammes de camions et d'autobus, mais aussi et surtout de répondre aux besoins de notre clientèle en lui offrant des ressources inégalées aux plans technique, de la fabrication, du service et des ressources financières.»

John Merrifield verra ses responsabilités accrues à titre de vice-président principal ­ Ventes et marketing chez Sterling et de responsable des ventes et du marketing pour les marques Sterling et Western Star. Les activités de fabrication et d'ingénierie de Western Star seront dirigées par Roger Nielsen, directeur général de l'exploitation.

Monaieur Merrifield a assuré le développement et la croissance de Sterling Truck Corporation depuis 1997 lorsque Freightliner a acquis les droits de la gamme des camions lourds de la Ford Motor Company.

Depuis lors, Sterling a acquis une solide présence dans les segments des camions moyens et lourds professionnels, et plus particulièrement dans les segments des camions porteurs, comme ceux pour la construction, le ramassage, la livraison, les expéditions de détail et la distribution régionale.

Monsieur Nielsen, qui compte quinze ans de service chez Freightliner, a dirigé les efforts d'intégration de Western Star à la famille Freightliner.

Comme le signale monsieur Hebe, «nous comptons bien tirer parti des forces de nos entreprises et procéder à l'intégration de Western Star et d'Orion, ainsi que des membres de leur personnel, à la famille Freightliner parce que nous avons réussi à établir de puissantes assises pour la poursuite de la croissance et de la domination du marché des véhicules commerciaux en Amérique du Nord.»

De plus, la compagnie annonçait qu'elle avait informé le Consorcio G. Grupo Dina qu'elle allait mettre un terme à l'accord de fourniture que Western Star Trucks Holdings avait conclu avec DINA pour commercialiser sa ligne de produits "Class 7 Solar Series" en Amérique du Nord. La résiliation prendra effet dans 60 jours, conformément aux clauses du contrat. L'acquisition de Western Star Trucks Holdings par Freightliner LLC a été finalisée le 26 septembre.

À date, DINA a fourni à Western Star environ 600 camions Solar Series. Selon Freightliner, une alliance de commercialisation avec DINA ou n'importe quelle autre partie ne correspond pas à ses plans stratégiques à long-terme.

Freightliner LLC, dont le siège social est situé à Portland, en Oregon, fabrique et commercialise des véhicules de catégories 3 à 8, sous les marques de commerce Freightliner, Sterling, American LaFrance et Thomas Built Buses. Freightliner est une entreprise du groupe DaimlerChrysler, le plus important constructeur mondial de véhicules commerciaux.

Source: Freightliner LLC

 

Nouveau président à l'ACQ
Dans le cadre de leur congrès annuel, tenu cette année au Mont-Tremblant, les membres de l'Association de la construction du Québec (ACQ) ont élu M. Théo Demers à la présidence de l'organisme. M. Demers compte inscrire son action dans la lignée de ses prédécesseurs. &laqno;Depuis la création de l'ACQ, il y a déjà dix ans, nous avons réussi à faire de notre association une organisation solide et efficace, capable en tout temps de promouvoir et de défendre les intérêts des entrepreneurs et en mesure d'offrir à ces derniers un soutien technique et une gamme de services professionnels de plus en plus étendus. C'est sur ces acquis indiscutables que nous allons faire face aux défis qui viennent», a affirmé le nouveau président.

Priorité no. 1 : mener à bien la prochaine négociation

Premier défi : la négociation d'une nouvelle entente avec les travailleurs de la construction. Les rencontres à la table de négociation devraient s'amorcer dès le mois d'octobre avec comme objectif de conclure une troisième entente depuis la création du nouveau régime de négociation en 1996. Ce nouveau contrat de travail prendrait effet au printemps 2001. L'ACQ est le représentant patronal de tous les employeurs de la construction dans les secteurs institutionnel, commercial et industriel, soit environ 11 000 entreprises de construction embauchant quelque 65 000 travailleurs. &laqno;Les négociations qui s'amorcent sont d'une importance majeure pour les entrepreneurs comme pour les travailleurs. Depuis un an environ, nous assistons à une reprise économique qui a eu pour effet de créer un optimisme débordant chez plusieurs intervenants de l'industrie. Cependant, il ne faut pas perdre de vue que malgré cette reprise, tous les indicateurs nous disent que la croissance du marché, particulièrement dans les secteurs institutionnel, commercial et industriel ne sera pas très importante dans un avenir prévisible au Québec. Nous assistons plus à une reprise du rythme de croisière qu'à un retour aux belles années. C'est une réalité que nous ne devrons pas perdre de vue dans les négociations qui s'en viennent, mais je suis convaincu que nous serons en mesure d'en arriver à une entente à la satisfaction de tous», a soutenu M. Demers.

Commentant les conclusions d'une étude prospective réalisée pour le compte de l'ACQ par la maison SECOR, et qui indique que l'industrie de la construction au Québec devra, au cours des 10 prochaines années, vivre des transformations majeures et profondes, M. Demers a indiqué que l'ACQ s'appliquerait dès cette année à aider l'industrie à affronter avec succès ces formidables défis. &laqno;Je crois que tous mes collègues de l'industrie de la construction sont bien conscients que nous devrons bientôt prendre des décisions quant à l'avenir de nos entreprises. Les années qui viennent seront celles des synergies, de la convergence et de l'intégration. Les entrepreneurs devront développer de nouvelles habiletés de gestion, offrir de nouveaux services, utiliser au maximum les technologies de l'information et s'allier à d'autres groupes pour mieux répondre aux attentes de leurs clients. Autant de changement en même temps ne doit pas faire peur, mais les chefs d'entreprises devront faire preuve de leadership. Nous pouvons faire beaucoup en leur apportant l'information stratégique dont ils ont besoin pour prendre de bonnes décisions», a-t-il indiqué.

Par ailleurs, monsieur Demers a indiqué qu'il plaçait au nombre de ses priorités au cours de l'année qui vient le développement des mutuelles de prévention en santé et sécurité, le renforcement de la formation et de la qualification des travailleurs et la bonification du programme de garantie résidentielle Qualité-habitation afin de le rendre encore plus concurrentiel parmi les programmes du genre offert par l'industrie.

Enfin, commentant les critiques adressées depuis plusieurs années par certains entrepreneurs à l'endroit du Bureau des soumissions déposées du Québec (BSDQ), M. Demers s'est dit en plein accord avec les propositions mises de l'avant il y a quelques jours par son prédécesseur, M. Jean-Guy Cloutier. &laqno;S'il est vrai qu'il existe certains irritants avec le BSDQ, je suis profondément convaincu que c'est un excellent instrument au service de l'industrie, qu'il a toujours sa pertinence et qu'il sert les intérêts de tous, donneurs d'ouvrages, entrepreneurs généraux et spécialisés. Une réforme du BSDQ s'impose, mais la solution n'est certainement pas de jeter le Bureau à la poubelle», a conclu le nouveau président de l'ACQ. Le BSDQ est un organisme créé en 1957, administré conjointement par les entrepreneurs généraux et spécialisés et par lequel transitent annuellement plus de 50 000 soumissions destinées à la réalisation d'un très grand nombre d'ouvrages au Québec. Lorsqu'un donneur d'ouvrage publie un appel d'offres pour un projet, les entrepreneurs spécialisés y répondent en déposant leurs soumissions auprès du BSDQ. L'entrepreneur général y choisit ensuite, en fonction de règles établies par le Bureau, les divers entrepreneurs spécialisés qui feront partie de sa propre soumission au donneur d'ouvrage.

L'Association de la construction au Québec représente plus de 11 000 employeurs en construction oeuvrant principalement dans les domaines industriel, commercial et institutionnel (ICI). Les entreprises membres de l'ACQ sont aussi actives dans le secteur résidentiel et adhèrent à la garantie Qualité Habitation.

Source : Association de la construction du Québec

 

Congrès 2000 de la FQM - Les élus municipaux ulcérés du peu de considération du gouvernement du Québec pour les ruraux
Depuis plusieurs mois, le gouvernement du Québec promet une Politique sur la ruralité, très attendue par les membres de la Fédération Québécoise des Municipalités (FQM) dont la majorité proviennent de municipalités rurales. Etant donné que le gouvernement ne semble pas avancer dans ce dossier, les membres présents au congrès 2000 de la FQM qui s'est terminé le 30 septembre dernier à Québec ont adopté une résolution visant à faire avancer plus rapidement ce dossier.

En effet, les congressistes présents ont choisi de faire part de leur mécontentement sur les politiques mises de l'avant par le gouvernement concernant le développement du monde rural. Ils en ont assez que le gouvernement concentre ses actions sur le renforcement des agglomérations urbaines, sans mesures complémentaires pour assurer un développement équitable des milieux en périphérie des villes-centres et des villes-pôles en région.

L'assemblée générale des membres de la Fédération Québécoise des Municipalités locales et régionales a donc résolu de faire connaître au Premier ministre du Québec et au ministre des Régions son indignation face à la lenteur avec laquelle le gouvernement réagit aux besoins criants des milieux ruraux. Les représentants de quelque 1000 municipalités exigent du gouvernement du Québec qu'il manifeste concrètement son attachement aux milieux ruraux en faisant connaître rapidement sa vision du développement de ces milieux, en plus de leur fournir les outils nécessaires à l'atteinte de leur plein développement, dont la publication rapide et la mise en oeuvre de sa Politique sur la ruralité. La FQM entend demander sous peu une rencontre avec le Premier ministre, M. Lucien Bouchard.

Source: Fédération Québécoise des Municipalités

 

Nouvelle usine de recyclage pour HRD
Horsehead Resource Development Company, Inc. (HRD) annonçait récemment l'expansion de ses activités nord-américaines de recyclage des poussières provenant de fours électriques à arc (FEA) et la construction d'une nouvelle usine régionale de recyclage au Canada. HRD étudie actuellement plusieurs sites potentiels pour la construction de cette usine.

L'industrie sidérurgique FEA canadienne représente un marché important pour HRD, surtout à cause de la proximité de la Société à la plus importante région canadienne de production sidérurgique. HRD est la plus importante société de recyclage de poussières de FEA des Etats-Unis. Elle sert déjà plusieurs aciéristes FEA canadiens à partir des Etats-Unis. HRD a reçu des demandes encourageantes provenant de producteurs sidérurgiques canadiens et d'employés gouvernementaux, qui se sont prononcés en faveur du recyclage des poussières de fours électriques à arc canadiens. A l'heure actuelle, au Canada, sauf pour les poussières de FEA recyclées par HRD, la majorité de ces poussières, qui contiennent des ressources importantes, est perdue à tout jamais dans les sites d'enfouissement.

HRD a recyclé plus de 4,5 millions de tonnes de poussières de FEA à l'aide de deux technologies brevetées de récupération des métaux à haute température, à savoir les technologies Waelz kiln et Flame Reactor. Selon l'United States Environmental Protection Agency (USEPA), les technologies de recyclage de HRD sont les meilleures technologies de gestion des poussières de FEA actuellement disponibles. Aux Etats-Unis, HRD recycle les poussières de FEA à ses usines de Pennsylvanie, de l'Illinois, du Tennessee et directement au site d'une aciérie située à Beaumont, au Texas.

HRD est la plus grande société de recyclage de déchets contenant du zinc. HRD joue un rôle crucial dans l'industrie sidérurgique FEA, recyclant une grande partie des dangereuses poussières de FEA générées annuellement par les aciéries. Le rendement de HRD en matière de zinc récupéré à partir de poussières de FEA équivaut à près de 25% du zinc produit par les affineries de zinc américaines. Le zinc récupéré par HRD est utilisé à une myriade d'applications industrielles et de fabrication, et en tant que nutriment essentiel à la santé humaine. Le fer récupéré par HRD est utilisé à diverses fins de production de ciment et d'acier.

HRD, dont le siège social est situé à Monaca, en Pennsylvanie, appartient à Horsehead Industries, Inc., de New York, l'une des plus grandes sociétés privées des Etats-Unis.

Source: Horsehead Resource Development Company, Inc.

 

Eau potable - la nouvelle réglementation demande un effort additionnel de 320 millions $
«La nouvelle règlementation sur l'eau nécessitera des montants additionnels aux programmes actuels d'infrastructures qui ne prévoient pas d'aide financière spécifiquement consacrée aux municipalités qui devront faire des investissements pour se conformer à la nouvelle règlementation sur l'eau potable», affirme la Coalition pour le renouvellement des infrastructures du Québec, dans un mémoire adressé au gouvernement du Québec.

Selon le ministère de l'Environnement du Québec, les coûts pour l'application de ce projet de règlement sont de l'ordre de 600 millions $. Étant donné que cette estimation semble être basée sur des évaluations sommaires, sans étude de pré-ingénierie, la Coalition estime que les coûts réels de l'application du règlement pourraient être plus élevés d'au moins 30%, ce qui représenterait des investissements de l'ordre de 800 millions $.

«S'il veut maintenir le coût de l'eau le plus uniforme possible au Québec, le gouvernement doit nécessairement aider financièrement les municipalités qui devront s'adapter au nouveau règlement et former des opérateurs de leur réseau d'aqueduc», a déclaré Gilles Vaillancourt, président de la Coalition et maire de Laval.

Par ailleurs, la Coalition met en garde le gouvernement du Québec contre la tentation de financer l'application du nouveau règlement en utilisant les fonds prévus dans le cadre du programme tripartite de réfection des infrastructures annoncé par les gouvernements fédéral et du Québec dans leur dernier budget. &laqno;Le programme tripartite prévoit un budget trois fois inférieur aux besoins réels», a souligné M. Vaillancourt qui a poursuivi en disant : &laqno;s'il fallait encore amputer le programme tripartite pour financer le règlement sur l'eau potable, les sommes restantes pour la réfection seraient nettement insuffisantes pour arrêter la détérioration des infrastructures».

Afin de subventionner à 50% toutes les municipalités visées, la Coalition recommande que le gouvernement prévoie une enveloppe budgétaire de 400 millions $ d'aide financière incluant les 80 millions $ déjà prévus au programme Infrastructures-Québec. Le gouvernement devrait donc débloquer 320 millions $ pour financer les travaux nécessaires à la mise en application du nouveau règlement sur l'eau potable.

La Coalition pour le renouvellement des infrastructures du Québec, créée en août 1999, regroupe 21 associations et organismes représentant les principaux acteurs de la scène québécoise concernés par la réfection et la mise à niveau des infrastructures municipales et routières au Québec. Parmi ces membres figurent notamment les deux unions municipales, les associations représentant les gestionnaires municipaux, les experts et les ingénieurs, les syndicats et les employeurs ainsi que les constructeurs, les gens d'affaires et les assureurs.

Dans son premier mémoire publié en août 1999, la Coalition demandait la création d'un programme d'infrastructures tripartite (fédéral, provincial et municipal) d'une durée de 15 ans afin d'investir 15 milliards $ ­ soit un milliard par an ­ dans la réfection et la mise aux normes des infrastructures municipales et routières du Québec. De ces 15 milliards $, les besoins pour remettre à niveau les infrastructures d'aqueduc et d'égout municipales sont évalués par la Coalition à 9 milliards $ à partir des deux études réalisées par l'Institut national de recherche scientifique pour le compte du ministère des Affaires municipales.

Dans son second mémoire déposé en mai 2000 portant sur les objectifs et les critères des futurs programmes d'infrastructures, la Coalition constatait que les sommes allouées aux infrastructures publiques dans les budgets du gouvernement fédéral et du Québec étaient nettement insuffisants pour combler les besoins réels de réfection au Québec. &laqno;On ne peut détourner une partie de ces budgets déjà nettement insuffisants sans remettre en cause l'objectif de remettre les infrastructures municipales dans un état qui permette d'arrêter leur dégradation», a conclu M. Vaillancourt.

Source: la Coalition pour le renouvellement des infrastructures du Québec

 

Nouvelles installations pour Vermeer Vente et Service
Vermeer Vente et Service inaugureront bientôt leur nouvelle place d'affaires au 2820 rue Botham, à Ville Saint-Laurent (près de l'intersection du boulevard Pitfield et de la rue Henri-Bourassa. Les nouveaux locaux, d'une superficie de 7800 pieds carrés abriteront les bureaux administratifs, une salle de montre et un atelier de réparation.

Vermeer Vente et Service est une filiale de Vermeer Sales & Service, une division de Canadian Underground dont le siège social est situé à Brampton en Ontario. En plus de celle de Montréal, la compagnie possède des succursales à Calgary, Edmonton, Regina, Winnipeg, Saskatoon, London et Moncton.

Vermeer Vente et Service est le distributeur exclusif des produits Vermeer pour le Canada (à l'exception de la Colombie-Britannique). Fondée par Gary Vermeer en 1948 à Pella en Iowa, Vermeer Manufacturing Company fabrique entre autres des foreuses directionnelles, des torpilles pneumatiques, des outils pour l'éclatement des conduits. De plus, la compagnie fabrique une gamme complète d'excavatrices de tranchée ("trenchers", de déchiqueteuses de branches, d'essoucheuses, de transplanteurs d'arbres et de broyeurs à cuve ("tub grinders").

Source: Vermeer Vente et Service, (514) 990-7919


AGENDA

Computers for Construction 2000 & A/E/C Systems Fall
du 6 au 9 novembre 2000
Anaheim, California

INFRA 2000
du 13 au 15 novembre 2000
Laval, Québec

BAU 2001
du 16 au 21 janvier 2001
Munich, Allemagne

AMERICANA 2001
du 28 au 30 mars 2001
Montréal, Québec

BAUMA 2001
du 2 au 8 avril 2001
Munich, Allemagne


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