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Nouvelles brèves
Riley Bechtel, président et chef de la direction de Bechtel Group, Inc., Brian Kenny, président de Bechtel Canada, et Paul Lafleur, président et chef de la direction de BPR, présentaient quatre initiatives d'investissement à long terme au Québec. Pauline Marois, vice-première ministre du Québec et ministre d'État à l'Économie et aux Finances, a également pris la parole pour remercier Bechtel et BPR de leur engagement envers le Québec. Elle a ensuite procédé à l'ouverture officielle des nouveaux bureaux de Bechtel au Complexe Les Ailes, un nouveau venu parmi les grands édifices de Montréal. Les quatre initiatives annoncées par les représentants de la direction de Bechtel et de BPR comprennent la création par les deux partenaires d'une firme en coentreprise, le déplacement de Denver à Montréal du siège nord-américain des activités minières et métallurgiques de Bechtel, l'installation à Montréal de son Centre d'excellence de l'aluminium mondial et la nomination d'une personnalité du secteur de l'aluminium, Emery LeBlanc, aux conseils d'administration de Bechtel Québec et de Bechtel Canada. La nouvelle société, BPR-Bechtel, sera possédée également par les deux firmes partenaires et concentrera ses activités dans les secteurs de l'aluminium et de l'industrie lourde. M. Lafleur, pour sa part, a déclaré qu'il prévoyait employer environ 650 personnes de plus d'ici quelques années, ce qui ferait passer de 350 à 1000 le nombre d'employés, situés principalement à Montréal mais également dans les bureaux de BPR à Saguenay, à Alma et à Québec. "En combinant notre expérience, notre connaissance approfondie du secteur industriel québécois et nos acquis en technique industrielle avec l'expertise de renommée internationale de Bechtel, un géant mondial du secteur de l'ingénierie-construction, a-t-il déclaré, BPR-Bechtel sera en position d'offrir un service unique à des clients importants du Québec et d'ailleurs." Annonçant l'établissement ici du siège nord-américain des activités minières et métallurgiques et du Centre d'excellence de l'aluminium, M. Riley Bechtel a décrit Montréal comme le carrefour nord-américain des projets miniers et métallurgiques et la base d'exécution des projets d'aluminium à grande échelle de Bechtel pour le monde entier. Les deux raisons principales citées pour le choix de Montréal comme base d'opération sont l'excellent climat commercial qui règne au Québec ainsi que sa position mondiale sur l'échiquier du marché de l'aluminium. "Aujourd'hui plus que jamais, a-t-il affirmé, le Québec est l'endroit idéal où faire des affaires pour Bechtel. Montréal regorge de professionnels compétents et offre une qualité de vie sans égale. Les coûts d'exploitation y sont compétitifs, et l'économie en pleine croissance. Le Québec est un centre mondial de la production de l'aluminium et de l'industrie métallurgique. De plus, l'ouverture internationale de Montréal offre des possibilités d'exportation qui peuvent profiter aux firmes de génie locales et aux fabricants qui travailleront avec nous." Dans le cadre d'une autre mesure visant à renforcer l'avantage compétitif de l'entreprise dans le secteur de l'aluminium, M. Kenny a annoncé la nomination d'Emery LeBlanc, président à la retraite du Groupe Alcan Métal primaire, aux conseils d'administration de Bechtel Canada et Bechtel Québec. Désignant M. LeBlanc comme "un grand Québécois, un homme d'affaires montréalais très respecté ainsi qu'un expert d'envergure mondiale du secteur de l'aluminium", M. Kenny a annoncé que M. LeBlanc agirait "en tant qu'administrateur de nos entreprises et précieux mentor et conseiller." Riley Bechtel a déclaré que bien que l'image de Bechtel au Québec soit surtout associée au secteur de l'aluminium, il est convaincu que la société a un rôle important à jouer dans le développement d'autres secteurs de l'économie du Québec, y compris ceux de la production d'énergie, du génie civil, des produits pétrochimiques et des télécommunications. Il a également fait mention de la vaste expérience qu'a acquise Bechtel à travailler en collaboration avec les entreprises et les gouvernements pour le financement de projets et l'établissement de partenariats réussis entre le secteur public et le secteur privé. "Nous sommes prêts à apporter notre expertise de quelque façon que ce soit pour contribuer à l'élan économique du Québec", a également affirmé M. Bechtel, qui s'attend à ce que le nombre d'employés du bureau de Bechtel à Montréal passe de 150 à environ 700 d'ici les prochaines années en raison du travail associé aux initiatives annoncées aujourd'hui. Si l'on y ajoute les 650 emplois annoncés par BPR-Bechtel, on obtient environ 1 200 nouveaux emplois potentiels. Avec 1 000 projets actuellement en cours dans plus de 60 pays et un effectif de 50 000 personnes, Bechtel fait figure de chef de file mondial parmi les entreprises de génie, de construction et de gestion de projets. Bechtel a joué un rôle important dans le développement industriel et la croissance économique du Québec depuis 1960 en y réalisant un vaste éventail de projets qui comprennent la construction d'alumineries de classe internationale ou l'immense projet hydroélectrique de la Baie James. Quant à la présence de Bechtel au Canada, elle remonte à 1949 et comprend des projets d'usines miniers, métallurgiques ou pétrochimiques, de pipelines, de pâtes et papiers et d'ouvrages hydroélectriques de grande envergure. Depuis sa fondation en 1898, Bechtel est une société privée à gestion familiale. BPR est l'une des firmes de génie les plus réputées du Québec. Fondé en 1961, il emploie plus de 1 000 personnes dans 12 bureaux provinciaux, plus un en France et un aux Etats-Unis. BPR offre une gamme complète de services spécialisés de génie-conseil et de gestion dans les secteurs de l'hydrologie urbaine, du traitement des eaux usées et de la production d'eau potable, du génie rural et de l'environnement, des transports, des télécommunications, des produits chimiques et pétrochimiques, des mines et de la métallurgie, des pâtes et papiers, de l'électricité, de l'instrumentation ainsi que du génie mécanique et civil. Pour obtenir de plus amples renseignements au sujet de BPR, visitez le site Web www.groupe-bpr.com.
L'ONE approuve une demande de Transcanada PipeLines L'Office a approuvé la construction d'approximativement 24,4 km (15 mi) de canalisations de doublement de 1 219 mm (48 po) sur le réseau de TransCanada en Colombie-Britannique et les projets de modification des stations de compression Elko et Moyie. La capacité nominale de transport des installations est de 11,9 millions de m3 (420 millions pi3) par jour. Le coût du projet est estimé à 48,3 millions $ et la date proposée de mise en service est le 1er novembre 2002. Le réseau de la Colombie-Britannique comprend 177 km (110 mi) de canalisations de 914 mm (36 po) qui vont de la frontière entre l'Alberta et la Colombie-Britannique aux environs de Kingsgate, en Colombie-Britannique. L'Office national de l'énergie est un organisme fédéral indépendant qui est chargé de réglementer divers aspects du secteur de l'énergie au Canada. La raison d'être de l'ONE est de promouvoir la sécurité, la protection de l'environnement et l'efficience économique dans l'intérêt public canadien, tout en respectant les droits individuels et en s'en tenant au mandat que le Parlement lui a conféré au chapitre de la réglementation des pipelines, et de la mise en valeur et du commerce des ressources énergétiques.
Dirigeant d'une entreprise d'excavation puni d'une amende de 50 000
$ pour avoir enfreint les règles de santé et de sécurité Le 9 novembre 2000, le propriétaire d'une exploitation agricole et un entrepreneur indépendant, engagé par le propriétaire, se trouvaient dans une tranchée de deux mètres (6,5 pieds) pour installer une conduite servant à recouvrir des câbles électriques lorsque la tranchée s'est soudainement effondrée, causant le décès des deux personnes qui s'y trouvaient. L'accident s'est produit dans une exploitation agricole dans le comté de Wellington. La tranchée avait été creusée par Don Burns Excavating Ltd. Un administrateur, également dirigeant de Don Burns Excavating Ltd., a été reconnu coupable : 1. d'avoir omis, en tant qu'administrateur ou dirigeant, de prendre toutes les précautions raisonnables afin de garantir que l'entreprise incline ou étaye la tranchée conformément à l'article 234 du règlement sur les chantiers de construction, enfreignant ainsi le paragraphe 32 (a) de la Loi; 2. d'avoir omis, en tant qu'administrateur ou dirigeant, de prendre toutes les précautions raisonnables afin de garantir que l'entreprise fournit les renseignements, les instructions et la supervision nécessaires à un travailleur comme l'exige l'alinéa 25 (2) a) de la Loi, enfreignant ainsi le paragraphe 32 (a) de la Loi. Le juge de paix Avis Rodney, de la Cour de justice de l'Ontario à Guelph, a condamné l'entreprise à une amende de 25 000 $ pour chaque chef d'accusation.
Lancement de MOBILUS chez Datacom MOBILUS s'avère un traitement choc, l'antidote rêvé contre les vols d'automobiles qui surviennent à toutes les 4 minutes au Canada. Le système repose essentiellement sur trois technologies extrêmement efficaces: les réseaux cellulaires, le repérage par satellite (GPS) et Internet. MOBILUS utilise aussi la performance de la technologie "Control Channel Positioning System", qui rend possible la localisation rapide de tout véhicule dans un endroit souterrain ou clos, comme un édifice, un garage, un tunnel ou un conteneur. Dès qu'un véhicule est dérobé, sans même l'intervention de son propriétaire, un signal d'alerte est transmis sur-le-champ à une équipe de surveillance de Datacom, puis à un répartiteur du service d'urgence 9-1-1. En quelques secondes, les policiers sont avisés et peuvent intervenir pour le retrouver. MOBILUS est non seulement un système sécuritaire et préventif, mais il promet d'énormes économies chez les assureurs et les assurés. Perçu comme étant un nouveau standard de sécurité, MOBILUS sera en vente et installé chez la plupart des concessionnaires automobiles du Québec. De plus, à l'heure actuelle, bon nombre de compagnies d'assurances recommande le système et accordent aux assurés des réductions de primes variant entre 15% et 35%. Un des atouts majeurs de Datacom est sans contredit son alliance avec Rogers AT&T Communications sans fil, le plus important fournisseur pan-canadien de télécommunications qui, grâce à son réseau, procure à MOBILUS une portée inégalée à travers tout le pays. "Nous sommes très fiers de ce partenariat", déclare Sylvain Roy, vice-président, Ventes, région du Québec, Rogers AT&T Communications sans fil. "Pour nous, cette association démontre la très grande fiabilité de notre technologie et l'avantage compétitif lié à l'imposante couverture de notre réseau sur le territoire canadien." D'autre part, MOBILUS relie de façon inédite plusieurs fonctionnalités avancées. En plus de faire obstacle au vol automobile, il permet d'offrir des services complémentaires en ligne tels que le télédéverrouillage de portes, le démarrage à distance et une fonction de gardien virtuel qui signale tout déplacement non autorisé du véhicule. Lors d'une intervention policière, MOBILUS peut aussi activer les feux de position et le klaxon du véhicule volé pour un meilleur repérage, en plus de couper l'alimentation du moteur en carburant pour éviter des poursuites dangereuses. "Avec MOBILUS, les clients disposent d'un produit tout-en-un pour protéger et repérer leur véhicule, et aussi pour en rendre l'utilisation plus pratique et agréable", ajoute M. Savoie. Datacom est une société offrant des solutions d'affaires reposant sur la gestion de données en temps réel pour les flottes de véhicules et les procédés industriels. Elle commercialise également pour les consommateurs un système de protection, de sécurité et de repérage de véhicules volés. Alliant la puissance de ses développements technologiques à la simplicité d'Internet, Datacom conçoit ses gammes de produits en partenariat avec des entreprises aussi réputées que AT&T Canada, Rogers AT&T Communications sans fil, Motorola et Manac.
Kobe Steel vend sa participation dans Alouette à SGF-Minéral Aluminerie Alouette est un consortium regroupant six entreprises du Japon, d'Europe, du Canada et du Québec ayant investi dans l'aluminerie de Sept-Iles (Québec), dont la production s'élève à 243 000 tonnes métriques par an. L'exploitation de cet établissement moderne a commencé en 1992. Les six partenaires regroupés dans Alouette comprennent maintenant Alcan Inc. (20%), Corus Group plc (20%), Austria Metall AG (20%), Norsk Hydro ASA (20%), Marubeni Corporation (6,67%), et SGF (13,33%). Le consortium devrait, courant septembre 2002, entériner son plan de développement pour Alouette II. Rappelons également qu'en mars dernier SGF Minéral avait vendu sa précédente participation dans Alouette, soit 20%, à Alcan inc. "Le retour de la SGF dans le capital d'Alouette, a déclaré le président et chef de la direction de la SGF, doit s'interpréter en regard de la mission même de la Société : investir dans des projets rentables et structurants pour l'économie québécoise. Dorénavant a ajouté M. Blanchet, l'ensemble des actionnaires est engagé, non seulement dans le développement de la phase II, mais aussi pour la création de plus de 1000 nouveaux emplois à haute valeur ajoutée dans la transformation de l'aluminium, objectif poursuivi par la politique de développement économique du Québec." Kobe Steel avait investi dans Alouette à un moment où l'entreprise avait besoin d'une source stable de lingots d'aluminium. Cependant, Kobe Steel a décidé de réduire ses investissements en amont à l'étranger et de se concentrer sur son activité principale, le laminage d'aluminium. Kobe Steel, Ltd., qui est l'une des principales aciéries du Japon, produit également de l'aluminium et des produits de cuivre. Ses autres secteurs d'activité comprennent la machinerie, le matériel de construction et le secteur immobilier. Au cours de l'exercice financier qui s'est terminé en mars 2002, le chiffre d'affaires consolidé de Kobe Steel a atteint 1,9 milliard de yens (environ 9 milliards $ US). A l'extérieur du Japon, ses activités couvrent les Amériques, l'Asie et l'Europe.
Fonderie Poitras investit 4 M$ investis dans la modernisation de ses
installations Spécialisée dans la fabrication de pièces en fonte à très haute résistance mécanique, Fonderie Poitras qui compte 90 employé(e)s, est devenue grâce à la qualité de ses produits un fournisseur important des trois grands constructeurs d'automobiles, Ford, General Motors et Chrysler. La fonderie a de plus développé une expertise de pointe dans les composantes de moteurs diesel destinés aux véhicules de marques Caterpillar, Mack Truck, Isuzu et Cummins. "Notre entreprise a su optimiser des procédés métallurgiques conférant des propriétés exceptionnelles d'usinage à la fonte, a déclaré monsieur Claude Massé, président de Fonderie Poitras, et la qualité des produits qui en résultent est désormais reconnue en Amérique du Nord. La croissance que connaît l'entreprise, a-t-il ajouté, s'explique à la fois par l'investissement continu dans l'amélioration de nos procédés et par un effort soutenu de commercialisation." Au chapitre de la technologie, l'entreprise a bénéficié d'une subvention de 250000$ émanant du Fonds de diversification des Régions. Cette aide du gouvernement du Québec est dédiée à la recherche de technologies nouvelles qui permettent une production plus rapide et plus efficace de pièces composantes de haute précision. Fonderie Poitras s'est engagée dans un processus d'évaluation de technologies utilisées ailleurs dans le monde, notamment en Europe. Le choix d'une d'entre elles pourrait conduire à de nouveaux investissements.
AUSA double ses ventes de chariots élévateurs Au cours des deux dernières années, AUSA a pratiquement doublé ses ventes de chariots élévateurs, notamment dans le nord de l'Europe. Dès leur présentation officielle en septembre dernier, les nouveaux CH 200/250 n'ont en effet cessé de gagner des parts de marché. Les utilisateurs de nombreux pays Belgique, Suisse, France, Royaume-Uni, Hollande, Allemagne, Danemark, Norvège, etc. commencent à penser à AUSA. La qualité des chariots AUSA fait l'unanimité. Leur succès est basé sur l'esthétique, les prestations techniques, l'ergonomie, la modularité, la qualité des composantes mécaniques et le service après-vente que la marque fournit à tous ses clients.
Aluminerie Alouette Phase II - Alouette achète la technologie
d'électrolyse AP-30 de Pechiney Ce choix permettra à Alouette de bénéficier de synergies en uniformisant l'opération des 264 cuves existantes avec les 330 à construire dans le cadre de son projet d'expansion. Pour Joe Lombard, président et chef de la direction d'Aluminerie Alouette : "C'est un choix logique pour nous, nos opérateurs maîtrisent parfaitement cette technologie éprouvée. Nous avons réussi à en optimiser la performance et nous croyons être encore capables de progresser avec cet outil." Pour sa part, Pechiney qui est de loin le plus gros fournisseur detechnologie d'électrolyse au monde, voit dans cette transaction une confirmation de son leadership. "Alouette est un des premiers utilisateurs du modèle AP-30 et l'un des plus performants. Le fait que, pour l'agrandissement de son usine Alouette ait retenu Pechiney, démontre l'excellence des performances et la capacité d'évolution de nos technologies" a déclaré Jean-Dominique Senard, directeur de la division Aluminium Metal de Pechiney. Aluminerie Alouette est un consortium composé de Alcan (20%), Austria Metall (20%), Corus (20%), Marubeni (6,7%), Norsk Hydro (20%) et la Société générale de financement du Québec (13,3%). Alouette exploite une usine à Sept-Iles qui produit annuellement 243 000 tonnes d'aluminium de première fusion. Suite à l'octroi par le gouvernement du Québec d'un bloc énergétique de 500 MW, l'aluminerie a annoncé son intention d'agrandir pour produire 550 000 tonnes par année. Le lancement de la construction devrait se faire à l'automne pour que l'usine soit à pleine production dès la fin de l'année 2005. Il s'agit d'un investissement de 1,4 milliard $.
La dernière campagne télévisée de la CSST
: une campagne qui fait bouger les choses sur les chantiers du Québec
! Lors d'un sondage téléphonique, 96% des personnes du grand public interrogées sont d'avis que la publicité incite les employeurs à prendre des mesures pour prévenir les accidents du travail; 93% d'entre elles trouvent que le message est très clair sur ce que l'on veut dire aux gens. Quant aux employeurs interrogés, ils ont déclaré dans une proportion de 96% que la publicité les portait à réfléchir sur la prévention des accidents, tandis que 69% d'entre eux ont l'intention d'appliquer plus rigoureusement les mesures de sécurité sur les lieux de travail et que plus de la moitié, soit 62%, envisagent d'implanter concrètement des mesures de prévention ! De plus, 92% des employeurs ont trouvé le message crédible et 86% sont en accord avec le fait que montrer des situations dramatiques s'avère efficace. Ces chiffres sont très encourageants et démontrent une volonté quant à la prise en charge de la prévention dans les milieux de travail. Malgré tout, il reste encore de grands pas à faire et il n'y a pas de doute que lorsqu'il s'agit de prévention, c'est l'action des gens sur le terrain qui est déterminante. À ce titre, la publicité est un des moyens utilisés par la CSST pour sensibiliser le milieu de la construction. Bref, au-delà des images choc, ce qu'il faut surtout retenir, c'est que bon nombre d'accidents peuvent être évités et des vies sauvées.
La coentreprise SNC-Lavalin-Al-Hassan obtient un contrat pour un projet
gazier dans le Sultanat d'Oman
Le moteur de la Mini Cooper S est dotée d'un compresseur de type Roots qui porte la puissance de son moteur à 163 hp. De quoi faire patiner les roues de 17 pouces!
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Une Mini Cooper Turbo?
