Nouvelles brèves

Lamidex distributeur des aimants Meade

La direction de Lamidex Inc est heureuse d'annoncer son association avec Meade Industrial Services, Lamidex distribuera au Canada les électro-aimants Meade de toutes les grandeurs, en aluminium ou en cuivre, utilisés par les cours de recyclage ou les fonderies, les générateurs entraînés par courroie ou hydrauliquement et les boîtiers de contrôle. De plus, Lamidex dispose d'un comptoir de pièce et offre un service de réparation pour la plupart des autres marques.

Tous les produits neufs ou reconditionnés sont garantis 1 an.

Chez Lamidex, vous trouverez une gamme complète d'outils pour des applications diverses. Car nous croyons en nos produits et sommes fiers de vous faire profiter de la qualité des marteaux hydrauliques Stanley, cisailles Labounty, foreuses à béton E-Z Drill et maintenant les produits Meade pour la manutention du métal.

Pour de plus amples renseignements sur un de nos produits ou tout autre produit disponible chez Lamidex Inc., communiquez avec nous.

Source: Lamidex Inc.

 

Dossier du bois d'oeuvre : L'AMBSQ demeure ferme

L'Association des manufacturiers de bois de sciage du Québec (AMBSQ) demeure confiante quant à sa capacité de démontrer l'incohérence des allégations avancées par la Coalition américaine dans le dossier du bois d'oeuvre.

En effet, il semble évident, à la lecture de la plainte en subventionnement déposée le lundi 2 avril 2001 par la Coalition américaine des producteurs de bois, que les arguments sont les mêmes que lors de la dernière enquête en 1992. Rappelons qu'à ce moment, il avait été déterminé pour le Québec un taux de 0,01%, confirmant ainsi que l'industrie québécoise du bois d'oeuvre n'était pas subventionnée.

Par ailleurs, en ce qui concerne la plainte en dumping, les éléments avancés par les Américains se basent sur des données non factuelles et générales qui ne cadrent nullement avec la réalité de chacune des entreprises.

L'AMBSQ entend donc défendre la position prise unanimement à sa dernière assemblée générale demandant le libre accès au marché américain et un traitement équitable pour le Québec. Conséquemment, l'industrie québécoise rejettera toute proposition qui ne prendra pas en considération les éléments particuliers de son système de gestion forestière.

Source: Association des manufacturiers de bois de sciage du Québec

 

Toromont Industries Ltd. acquiert la franchise Sterling Truck à Mississauga

Toromont Industries Ltd. annonçait récemment qu'elle avait obtenu la franchise Sterling Truck pour la région de Mississauga, en Ontario, et qu'elle avait fait l'acquisition des opérations camions lourds de Tower Ford Sales Limited de Mississauga.

La franchise Sterling fonctionnera sous la bannière "Ontario Sterling", une unité d'affaires indépendante de Toromont Industries Ltd. L'entreprise sera basée dans les instaIlations existantes à Mississauga (à l'intersection de l'Autoroute 410 et de Derry Road).

Hugo T. Sorensen, de Toromont, mentionnait que "Ontario Sterling ajoute une nouvelle dimension à Toromont et représente une opportunité de croissance pour la compagnie dans le secteur des camions lourds à vocation spécialisée". Il ajoutait que "Toromont entend participer dans la consolidation anticipée des activités de distribution à même le réseau Sterling"

Ontario Sterling sera dirigée par M. Jordan Markoff et les activités actuelles de Toromont dans le service aux camions par l'entremise de sa franchise Caterpillar continueront à desservir les concessionnaires de camions d'autres marques et leurs clients sous la direction de M. Peter Bryce.

Source: Toromont Industries Ltd.

 

L'ACRGTQ appuie le plan global de réhabilitation et d'entretien des infrastructures du réseau routier annoncé par le ministre Chevrette

M. Pierre Delangis, président du conseil d'administration de l'ACRGTQ, tient à vous faire part que l'ACRGTQ appuie le plan global de réhabilitation et d'entretien des infrastructures du réseau routier québécois annoncé par Guy Chevrette, ministre des Transports, lors d'un discours prononcé au 36e congrès annuel de l'AQTR (Association québécoise des transports et des routes).

L'ACRGTQ est très satisfaite de cette annonce et est prête à travailler en collaboration avec le ministère des Transports à la mise en oeuvre de ce plan. Celui-ci devrait être présenté d'ici la fin de l'année.

Acteur important depuis près de 60 ans dans la construction et l'entretien des infrastructures, l'ACRGTQ représente plus de 400 entrepreneurs et fournisseurs oeuvrant dans la construction de routes, d'ouvrages de génie civil et de lignes de transport d'énergie. Ils exécutent environ 90 % du volume total de ces travaux octroyés au secteur privé. Il s'agit de la plus importante association oeuvrant dans le secteur du génie civil.

Source: Association des constructeurs de routes et grands travaux du Québec (ACRGTQ),

 

AQTR - Pour plusieurs spécialistes, le partenariat public-privé dans le domaine des routes n'est pas la panacée

Lors du 36e Congrès annuel de l'Association québécoise du transport et des routes (AQTR), l'organisme a réuni cinq spécialistes pour débattre sur l'opportunité pour le gouvernement et les municipalités de confier au secteur privé, sous le mode du partenariat, la construction, la réfection et l'entretien de leur réseau respectif. Ce débat s'inscrit dans la foulée de l'adoption, en décembre 2000, de la Loi 164 concernant les partenariats en matière d'infrastructures de transport.

Parmi les panélistes, trois avaient de grandes réticences à adopter cette forme de gestion. Il s'agit de Pierre Paquette, économiste ; Pierre Hamel, chercheur à l'INRS-Urbanisation et Pierre Sirois, président du Syndicat des ingénieurs du Gouvernement du Québec. Les deux autres intervenants étaient plutôt favorables. Il s'agit de François Malbrunot, directeur général de la société conseil LOGMA spécialisée, entre autres, dans le télépéage et de Patrick Gandil, directeur des routes au ministère de l'Equipement, des Transports et du Logement en France.

Selon M. Gandil, l'introduction des routes à péage en France a permis le développement rapide du réseau autoroutier français à partir des années 1960. A cette époque, le réseau autoroutier était très peu développé. "Le péage a également permis d'entreprendre rapidement la remise en état du réseau après la célèbre tempête de vent survenue à la fin décembre 1999", dit-il. Rappelons qu'à la suite de cet extrême météorologique, la France avait perdu le quart de son réseau routier.

Pour M. Malbrunot, le péage est une excellente façon de financer le prolongement du réseau routier et l'introduction du télépéage a l'avantage d'être un mode de perception facile et "sans douleur" pour l'usager. Le péage a aussi permis en France de développer un réseau autoroutier haut de gamme et, bien entretenu, sans nid-de-poule.

L'économiste et député du Bloc québécois Pierre Paquette se demande en quoi l'intérêt public est-il mieux servi par cette forme de partenariat public-privé dans la gestion des routes. Il ne croit pas que la création de fonds dédiés (créé par le péage) soit souhaitable autant dans le domaine des routes que dans d'autres domaines. "Le danger, dit-il, est de déresponsabiliser les politiciens de la décision de répartir eux-même les deniers publics dans la réfection du réseau routier", dit-il. Cela représente une menace au processus démocratique.

Pierre Hamel voit un autre danger dans la création d'un réseau autoroutier concédé selon le modèle français. "Dans ce genre de partenariat, il y a très peu de concurrence possible car peu d'entreprises se qualifient à l'étape de l'appel d'offre, dit-il. Les concessions se renouvellent de 25 en 25 ans sans renouvellement des concessionnaires".

M. Sirois croit que les contribuables québécois, déjà surtaxés, accepteraient difficilement l'introduction du péage pour financer des ajouts au réseau routier (ponts ou tronçons d'autoroute). Selon lui, si le réseau routier québécois est en mauvais état, c'est bien parce que le gouvernement a fait le choix d'y réduire ses investissements à partir du milieu des années 1990 dans l'espoir d'atteindre le déficit zéro. "La meilleure façon de remettre en état le réseau ne passe pas nécessairement par l'introduction de péages ou l'adhésion au système des concessions", dit-il.

Source: AQTR

 

Prix AQTR Sécurité routière 2001 - Canton d'Orford et Roberval à l'honneur

L'Association québécoise du transport et des routes (AQTR) a remis, dans le cadre de son congrès annuel, les prix de sécurité routière. Remis au milieu municipal pour leurs activités en sécurité routière, deux Prix ont été attribués en sécurité routière au Canton d'Orford pour son projet de sécurité dans le secteur Cherry River et à la Ville de Roberval pour l'aménagement de la rue Roland. Voici un résumé des projets gagnants:

· Au coeur des Cantons de l'Est, le canton d'Orford est une petite municipalité de près de 1700 habitants. Sur la route 141 (le chemin du Parc) qui la traverse, les véhicules automobiles roulaient depuis plusieurs années à une vitesse très élevée dans le secteur de Cherry River et des citoyens ainsi que des commerçants s'en étaient plaints à plusieurs reprises. Des relevés ont d'ailleurs confirmé que la circulation se faisait à une vitesse dépassant nettement la limite de 50 km/h. D'autres problèmes de sécurité routière s'y ajoutaient, tel l'absence de délimitation des accès, des stationnements mal conçus et l'absence de trottoirs ou d'aménagement cyclables; les piétons et les cyclistes devaient circuler sur l'accotement, où leur sécurité n'était pas assurée.

Ce secteur de la route 141 a principalement une vocation commerciale; on y retrouve le noyau ancien du village de Cherry River, des hôtels, dont trois gros complexes hôteliers, un centre commercial et plusieurs commerces et résidences. Toutefois, le secteur est surtout perçu comme un lieu de passage entre le mont Orford et le lac Memphrémagog, particulièrement durant l'hiver. Les responsables locaux convenaient que retenir les visiteurs permettrait notamment de dynamiser l'activité commerciale et qu'à cet égard l'on pourrait beaucoup mieux exploiter les nombreux atouts du secteur: un cadre naturel de qualité, des espaces disponibles bien situés, des traits architecturaux spécifiques, une clientèle diversifiée, des lieux d'hébergement nombreux, etc.

C'est dans cette perspective que les autorités municipales et l'association des commerçants du secteur ont adopté un programme particulier d'urbanisme; les orientations de celui-ci visent à faire de Cherry River un secteur structuré et agréable qui soit le coeur de la municipalité ainsi qu'à créer une dynamique favorable aux affaires et à l'habitat.

En conformité avec ce programme, la municipalité a procédé à des travaux pour favoriser une baisse des vitesses sur la route, réalisant divers aménagements : construction d'un trottoir ainsi que d'une piste piétonnière et cyclable dans un autre tronçon, installation de luminaires urbains et d'un portique d'entrée. autorisation du stationnement sur un côté de la rue et plantation d'arbustes. Une piste cyclable a également été construite pour relier le mont Orford, les trois complexes hôteliers et le lac Memphrémagog.

Selon les responsables de la municipalité, ces aménagements ont entraîné une diminution de la vitesse et une meilleure courtoisie des conducteurs à l'égard des piétons. Les touristes et les résidents utilisent par ailleurs beaucoup les aménagements piétons et cyclables, ce qui ne peut qu'être favorable à une reprise des activités commerciales.

La municipalité a également prévu d'autres interventions dans son programme particulier d'urbanisme, comme des mesures pour favoriser l'initiative privée, des outils de contrôle et des outils de promotion. Le programme devrait donc créer un effet d'entraînement dans le milieu, et à long terme permettre de consolider la vocation particulière de Cherry River.

· Dans cette ville de 11500 habitants, la rue Roland est une voie résidentielle qui supporte aussi une circulation de transit, les automobilistes l'empruntant pour se rendre à un centre commercial tout proche. Les vitesses élevées justifiaient d'ailleurs la présence d'un brigadier scolaire à une intersection (rue Gagnon). Lorsque les autorités municipales décidèrent de refaire les infrastructures de la rue, elles souhaitèrent en profiter pour régler ces problèmes de circulation.

Après une étude de la situation, les responsables déterminèrent que les améliorations devaient accroître le confort des résidants et faciliter la traversée des écoliers mais n'augmenter ni les débits de circulation ni les vitesses; la réalisation et l'entretien de ces aménagements devant bien sûr se faire à un coût raisonnable.

Les travaux ont porté sur un tronçon de 220 mètres de longueur et plusieurs interventions ont été effectuées:

  • réfection complète de l'aqueduc, pose d'un égout pluvial et d'un collecteur pluvial et de drainage;
  • aménagement d'un îlot central d'une longueur de 30 mètres au centre du tronçon;
  • construction de quatre saillies de trottoirs à deux intersections (avenues Bergeron et Gagnon);
  • aménagemant d'une chaussée étroite avec stationnement;
  • plantation d'arbres.

De tels aménagements ont permis de briser la perspective visuelle et ainsi de limiter les vitesses, de faciliter la traversée des écoliers et de marquer la priorité de la voie principale (rue Roland) sur les deux artères transversales, dont la chaussée est maintenant plus large que celle de la rue Roland.

L'ensemble de l'opération, de la conception à la réalisation, a duré six mois. Une consultation publique s'est déroulée en juillet et août 1999, et les travaux ont débuté en septembre. Les résultats sont très satisfaisants pour la municipalité et pour la commission scolaire, laquelle a même pu retirer le brigadier scolaire. Les principaux avantages sont observés au niveau des vitesses et du respect des arrêts aux deux intersections.

Le projet démontre que des aménagements novateurs comme la réduction de la largeur de la chaussée peuvent être implantés et réussir, dans un milieu où l'on construit habituellement des rues très larges. À cet égard le soutien du maire de la ville, tout au long du projet, a été un élément déterminant.

Source: AQTR

 

Les schistes bitumineux : un très mauvais investissement !

Les émissions de gaz à effet de serre du "Stuart Oil Shale Project" en Australie pourrait coûter à la compagnie canadienne Suncor, près de 10 % des profits à compter de 2010. C'est ce qui ressort d'une étude menée par Innovest, une société internationale d'analyse financière de partage de risque.

Le rapport, The Stuart Oil Shale Project; Implications of Carbon Emissions Constraints for Suncor Shareholders, rendu public le 5 avril dernier, précise qu'il en coûterait minimalement 38 millions $ par année pour réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) pour extraire et commercialiser le pétrole.

Ce rapport est une autre douche froide sur l'industrie des schistes bitumineux qui connait une suite de ratées tant au niveau technologique qu'environnemental et qui connait également une forte opposition locale en Australie depuis la construction du projet en 1997.

Le partenaire australien, composé des compagnie Southern Pacific Petroleum et de Central Pacific Minerals, a demandé à la bourse australienne d'interrompre la vente d'actions jusqu'à l'annonce par Suncor sur son implication ou non dans la poursuite du projet.

"Suncor doit se retirer immédiatement du projet Stuart", affirme Steven Guilbeault, responsable de la campagne Climat et Energie pour Greenpeace Canada. "L'avenir de la production d'énergie repose sur les énergies renouvelables. C'est là que se fera l'argent".

Selon le Conseil mondial de l'énergie, le marché des énergies renouvellables atteindra probablement de 234 à 625 milliards $ d'ici 2010, et pourrait même atteindre $1900 milliards en 2020.

"L'analyse présentée par Innovest démontre que les projets à forte émission de GES seront de plus en plus coûteux", précise M. Guilbeault. La compagnie Suncor ne cesse d'affirmer qu'elle veut produire de l'énergie propre. Suncor doit donc abandonner le projet Stuart si elle veut être à la hauteur de ses ambitions et continuer à générer des profits.

Les autres points majeurs du Rapport innovest sont les suivants :

  • Le coût de réduction des émissions de GES du projet Stuart dépasserait largement les capacités de production de pétrole de Suncor.
  • Le coût de réduction des GES pourrait représenter de 2 à 5 % de la valeur actuelle du total des projections du fonds de roulement (cash-flow) de Suncor d'ici 2010 et entre 6 à 12 % des profits au cours de la même période.
  • Les émissions de GES pourraient affecter le profit par action de 3% à 6% au cours des cinq prochaines années.

Le rapport précise également que la controverse entourant le projet Stuart pourrait endommager la réputation de Suncor et sa "licence sociale à faire des affaires", particulièrement au sein de la communauté des investisseurs responsables.

Greenpeace mène une campagne depuis 1998 lors de la mise en marche du Projet Stuart dans le but de mettre fin au développement des schistes bitumineux, le combustible fossile contenant le plus de carbone.

Le rapport The Stuart Oil Shale Project; Implications of Carbon Emissions Constraints for Suncor Shareholders peut être téléchargé à l'adresse suivante : www.suncore.org

Source: Steven Guilbeault, responsable de la campagne Climat et énergie pour Greenpeace

 

Partenariat institutionnel entre le monde municipal et l'industrie de la construction

L'Association de la construction du Québec (ACQ) et la Fédération Québécoise des Municipalités (FQM) ont annoncé aujourd'hui une entente qui permettra aux usagers du répertoire des fournisseurs municipaux d'effectuer des recherches par région et par spécialité parmi la liste des 3500 entrepreneurs membres de l'ACQ et des 1100 entrepreneurs accrédités de la Garantie Qualité-Habitation du Québec. Les usagers pourront aussi aisément identifier les entreprises de construction résidentielle qui adhèrent au programme de garantie de maisons neuves et de rénovation Qualité Habitation. L'entente exclusive conclue avec la FQM permettra à toutes les entreprises affiliées à l'ACQ d'être présentes sans frais sur le répertoire des fournisseurs municipaux "SAM en ligne" de la FQM www.samenligne.com.

"Nous sommes très fiers de cette entente qui ajoute aux services que nous offrons aux entreprises membres du réseau des ACQ. Le marché municipal représente une part importante des travaux effectués dans le secteur institutionnel et nos membres bénéficieront d'une visibilité accrue auprès des gestionnaires municipaux, qui auront désormais accès à un nouvel outil pour trouver très rapidement les coordonnées d'une entreprise spécifique ou pour confectionner une liste d'entreprises en construction pouvant répondre à leurs besoins particuliers", s'est réjoui le président de l'ACQ, M. Théo Demers. "Le grand public aussi pourra en bénéficier, car les gens qui sont à la recherche d'entrepreneurs résidentiels trouveront aussi sur le site de la FQM la liste des entreprises de leur région ou de leur localité offrant la garantie Qualité Habitation, gage de qualité dans le secteur résidentiel".

"Par cette entente, nous souhaitons aussi mieux faire connaître notre réseau de salles de plans et inciter un plus grand nombre de donneurs d'ouvrages du secteur municipal à les utiliser", a indiqué M. Demers. Ces salles permettent aux donneurs d'ouvrages de diffuser leurs plans auprès de tous les entrepreneurs affiliés à l'ACQ grâce à une formule de type "guichet unique". L'ACQ a le plus grand réseau de salles de plans au Québec qui génère plus de 50 000 consultations par année.

"Depuis 4 ans, la Fédération Québécoise des Municipalités contribue non seulement à mettre sur pied l'inforoute municipale, mais également à sensibiliser les municipalités à l'importance de prendre le virage des nouvelles technologies de l'information. Sam en ligne est le plus récent produit que la FQM offre aux conseillers, maires et préfets pour les supporter dans leur gestion, pour faire réaliser des économies aux municipalités et MRC, également pour contribuer au développement économique des régions", explique le président de la FQM, M. Michel Belzil.

L'entente est d'une durée de trois ans et prendra fin le 4 avril 2004.

La Fédération Québécoise des Municipalités regroupe 1016 municipalités et 90 des 96 MRC réparties sur 85 % du territoire québécois.

En mars dernier, Québec-Affaires, une entreprise créée par la FQM dans le cadre de l'inforoute municipale, a été honorée comme finaliste au Gala des Fidéides 2001. C'est cette entreprise qui a réalisé le site du répertoire des fournisseurs municipaux SAM en ligne.

L'Association de la construction du Québec (ACQ) regroupe 12 associations régionales qui représentent ensemble plus de 3500 entreprises de construction au Québec. L'ACQ s'est vue décerner récemment, par l'Association de la construction du Canada (ACC), le prestigieux prix Jake Thygesen 2000, la plus haute distinction accordée à une association du secteur de la construction au Canada, pour son remarquable leadership dans les domaines du lobbying, de l'éducation, de l'innovation et des avantages offerts à ses membres. L'ACQ représente aussi les 11000 employeurs en construction oeuvrant dans les domaines industriel, commercial et institutionnel (ICI) aux fins de négociations des conventions collectives de travail dans ce secteur.

Le plan de garantie Qualité-Habitation est un produit de la Garantie Habitation du Québec inc. dont l'actionnaire est l'ACQ. La garantie Qualité Habitation est officiellement reconnue et autorisée par la Régie du bâtiment du Québec. Bien plus que de garantir la qualité de la construction, elle donne l'assurance au consommateur qu'il transige avec un entrepreneur fiable et consciencieux.

Source: Ass. de la construction du Québec,
Fédération Québécoise des municipalités

 

Groupe Sodisco-Howden poursuit sa lancée avec des résultats records

Groupe Sodisco-Howden Inc. (la "Société") annonçait récemment ses résultats financiers pour l'exercice terminé le 31 décembre 2000 au cours duquel elle a enregistré des résultats records pour une deuxième année consécutive. Pour l'exercice terminé le 31 décembre 2000, les produits d'exploitation s'élevaient à 422,3 millions $, ce qui correspond environ au volume de l'exercice antérieur de 423,5 millions $.

Les activités ont dégagé un bénéfice net avant les frais liés à l'écart d'acquisition de 13,2millions$ contre un bénéfice net de 10,9millions$ pour l'exercice précédent.

"La réduction des prix de certains matériaux de construction, ressentie principalement au cours de la deuxième moitié de l'année, a eu pour effet de ralentir la croissance du chiffre d'affaires par rapport à l'exercice précédent", a noté M. D. Anthony Molluso, président et chef de la direction de la Société. "Cependant, la proportion des produits d'exploitation provenant des centres de distribution a légèrement augmenté au cours de l'exercice, et ce secteur génère des marges de profit plus élevées."

Monsieur Molluso se dit par ailleurs très satisfait des progrès réalisés au cours de l'exercice, notamment au chapitre du programme de rajeunissement de la bannière PRO et de ses nouveaux programmes de marketing ainsi que par l'introduction du catalogue électronique reliant les marchands à un entrepôt virtuel de plus de 75000 produits.

"Les bénéfices anticipés provenant des acquisitions effectuées durant l'exercice 2000 de certains actifs reliés à la quincaillerie de Smith-Barregar Ltd et de Weber Supply Company Inc. se matérialiseront pleinement au cours de 2001 alors que le processus d'intégration a été parachevé avec succès."

Au cours de l'exercice, la Société procédait tant au rachat qu'à la conversion en capital-actions de toutes les débentures en circulation.

Au cours de l'année 2001, Sodisco-Howden compte renforcer ses parts de marché en continuant d'offrir une solution taillée sur mesure aux marchands indépendants qui se démarquent de par le souci d'offrir un service attentionné à leurs clients.

Source : Groupe Sodisco-Howden Inc.

 

Année de croissance accélérée pour RONA, des ventes en hausse de 33 %

L'exercice 2000 a permis à RONA d'accroître significativement sa présence au sein de l'industrie canadienne de la rénovation, de la quincaillerie et de l'horticulture par une incursion massive dans le marché ontarien. La Société conserve ainsi le premier rang des distributeurs et détaillants de l'Est du Canada et figure parmi les plus importants détaillants du genre au Canada.

La majorité des ventes de RONA sont effectuées à ses marchands membres et comptabilisées au prix du gros. Toutefois RONA est aussi actionnaire d'un certain nombre de magasins à grande surface et propriétaire unique des magasins de la chaîne RONA Cashway en Ontario. Les ventes de ces magasins sont des ventes au détail et comptabilisées comme telles. Ainsi les ventes consolidées de RONA sont la somme de ventes au gros et de ventes au détail.

RONA a accru ses ventes consolidées de 33% pour les porter en 2000 à 1,32 milliard $. La hausse significative des ventes de RONA en 2000 est attribuable notamment à l'acquisition de Cashway Building Centres, une chaîne de 65 magasins de matériaux de construction présente dans toutes les régions de l'Ontario, de même qu'à l'ouverture de deux nouveaux magasins de grande surface au Québec, soit un RONA L'entrepôt et un RONA Le Régional. Le recrutement d'une vingtaine de nouveaux marchands au Québec, en Ontario et dans les provinces atlantiques a également contribué à accroître le volume des ventes de la Société lors du dernier exercice.

Les ventes au détail du réseau ont atteint quelque 2 milliards $ en 2000.

Le bénéfice d'exploitation a atteint 60,1 millions$ en 2000, une hausse de 61,6% par rapport à 1999. Le bénéfice d'exploitation représentait 4,6% des ventes en 2000, contre 3,8% en 1999. Cette forte hausse découle en partie de la proportion plus élevée des ventes consolidées qui sont comptabilisées comme ventes au détail suite à l'acquisition de Cashway. Mais la hausse reflète également l'accroissement d'efficacité qui s'est fait sentir progressivement au cours de l'année, au fur et à mesure que se concrétisait le potentiel d'économies du nouveau centre de distribution de Boucherville.

Le bénéfice net a pour sa part atteint 18,0 millions$, en hausse de 22,5% par rapport au bénéfice net de l'exercice précédent.

Notons enfin que les ventes et les profits de RONA sont en progression constante pour la dixième année consécutive.

Source: RONA inc.

 

Laval accueille RONA Le Régional

Le président et chef de la direction de RONA inc., M. Robert Dutton, et les marchands actionnaires RONA, André, Claude et Louis Lespérance, co-propriétaires du magasin, ont procédé, le 4 avril dernier, à l'inauguration officielle du RONA Le Régional de Laval, la 25e grande surface RONA au Canada.

Il s'agit en fait d'une réouverture pour ce magasin, qui portait auparavant la bannière RONA Le Rénovateur. A la suite de travaux d'agrandissement et de rénovation de l'ordre de 3,5 millions$, ce magasin possède désormais une superficie totale de plus de 100000 pi2 et adopte la bannière RONA Le Régional.

Le nouveau magasin de cette bannière - le plus récent concept québécois de magasin de grande surface pour l'habitation - est situé sur le boulevard des Laurentides. RONA Le Régional de Laval devient le centre de vente au détail et services conseils en matière de quincaillerie, de rénovation, de construction et de jardinage le plus novateur de la région.

La cérémonie d'inauguration, marquée symboliquement par la coupe d'un madrier, s'est déroulée en présence du maire de Laval, M. Gilles Vaillancourt, de personnalités de la région, des marchands-propriétaires, des employés et de plus d'un millier de clients.

Source: RONA inc.

 

Intersan, filiale de Waste Management, obtient un certificat d'autorisation pour un projet de bioréacteur au Canada

Waste Management, Inc. annonçait récemment que Intersan, division de sa filiale en propriété exclusive, Canadian Waste Services Inc. avait obtenu un certificat d'autorisation du ministère de l'Environnement du Québec pour la mise au point d'un projet de bioréacteur sur le lieu d'enfouissement de Sainte-Sophie, au nord de Montréal.

Il s'agit du premier projet de bioréacteur à grande échelle au Canada et l'un des dix projets de bioréacteur actuellement en voie de développement par Waste Management, Inc.

"Nous croyons que la technologie du bioréacteur constitue une façon novatrice de gérer les résidus solides" a affirmé A. Maurice Myers, président du conseil, président et chef de la direction de Waste Management, Inc. "En outre, l'accélération de la génération de biogaz pouvant être convertis en énergie verte comporte des avantages indéniables sur les plans environnemental et économique."

Le bioréacteur de Sainte-Sophie a le potentiel de générer huit mégawatts d'électricité, soit suffisamment d'énergie pour alimenter 8000 foyers.

"Ce projet nous permet de fournir une ressource verte fiable aux collectivités et aux entreprises de notre région", a souligné Hubert Bourque, vice-président et directeur du projet du bioréacteur pour Intersan. "Nous avons l'intention de jouer un rôle de premier plan, non seulement en ce qui a trait aux questions liées à l'environnement, mais également au sein du milieu des affaires de la région."

La technologie du bioréacteur accélère la bio-décomposition des aliments et des autres résidus organiques présents dans un lieu d'enfouissement en augmentant considérablement la teneur en humidité des matières enfouies. Les liquides créent des conditions optimales qui favorisent la biodécomposition rapide des résidus solides par les microorganismes. Ces techniques permettent d'une part d'augmenter la capacité d'enfouissement des sites de 15 à 30%, réduisant ainsi la nécessité d'aménager de nouveaux sites, et d'autre part, d'atteindre une stabilité environnementale plus rapidement au niveau de la masse résiduelle.

Établie à Houston, Waste Management, Inc., est un fournisseur de services, chef de file de services de gestion des matières résiduelles. En Amérique du Nord, la Société fournit des services à des clients municipaux, commerciaux, industriels et résidentiels.

Source: Intersan, Canadian Waste Services Inc.

 

Prix 2000 du camionneur méritant pour l'Amérique du Nord de Goodyear

L'altruisme de David Zorn, qui s'est porté au secours d'un policier se faisant attaquer aux abords de l'autoroute, lui a valu le prix 2000 du camionneur méritant pour l'Amérique du Nord décerné par Goodyear (Goodyear North America Highway Hero Award), a annoncé un représentant de Goodyear, en mars dernier, à l'occasion du salon Mid America Truck Show.

M. Zorn, de Forest Park, Georgie, traversait Norcross, dans l'Etat de Georgie, quand il a aperçu un agent de police en train de se faire attaquer aux abords de l'autoroute. Le suspect l'avait coincé et tentait de s'emparer de son arme. Toutefois, lorsque M. Zorn a immobilisé son poids lourd pour porter secours au policier, le suspect s'est sauvé. Brandissant une grosse lampe de poche, M. Zorn s'est lancé à la poursuite du suspect, l'a attrapé et l'a retenu jusqu'à l'arrivée des policiers.

"C'est rassurant de savoir qu'il existe des personnes aussi courageuses sur nos routes", a affirmé Rick Howell, directeur de la commercialisation, systèmes commerciaux, Goodyear. "Depuis l'instauration du programme Highway Hero, il y a de cela 18 ans, nous avons entendu des centaines d'histoires mettant en cause des camionneurs qui ont pris des risques pour porter secours à quelqu'un d'autre, et nous croyons qu'il est important que leurs actions soient valorisées publiquement."

M. Zorn, un camionneur à l'emploi de Consolidated Freightways, était l'un des quatre camionneurs professionnels ayant risqué leur vie pour aider d'autres personnes et qui ont été sélectionnés comme finalistes pour le prix 2000 du camionneur méritant pour l'Amérique du Nord décerné par Goodyear, le plus prestigieux prix de l'héroisme décerné par l'industrie du transport.

Chacun des finalistes et leurs invités ont bénéficié d'un voyage tous frais compris au Daytona 500 à Daytona Beach, en Floride, ainsi qu'au salon Mid-America Trucking Show de Louisville, au Kentucky, où ils se sont vu remettre une obligation d'épargne de 10000$ et une plaque gravée. M. Zorn a également reçu une bague à diamant l'identifiant comme héros de la route national.

Les trois autres finalistes sont :

Brent Shupe, de Charleston, Illinois. - Le 30 juin, un véhicule est entré en collision avec le camion de M. Shupe et a pris feu. M. Shupe a réussi à sortir deux passagères du véhicule en flammes puis est retourné s'occuper du conducteur, un homme âgé. En tentant de le libérer, M. Shupe a été projeté sur la glissière de sécurité quand le réfrigérateur de son camion a explosé.

Entre temps, le conducteur avait réussi à sortir du véhicule en rampant, mais s'était immobilisé. M. Shupe l'a traîné, l'éloignant du véhicule qui devait exploser quelques secondes plus tard. M. Shupe a eu des brûlures au bras à la suite de la première explosion. Il est camionneur pour Midwest Coast Transport.

Edward Bowlin, de Black Mountain, Caroline du Nord. - Le 10 novembre 1999, M. Bowlin avait stationné son poids lourd dans l'aire de stationnement d'un magasin lorsqu'il a vu une voiture heurter une femme intentionnellement. Le conducteur, l'ex-conjoint de la femme, est ensuite sorti de son véhicule pour aller poignarder la femme au thorax. M. Bowlin s'est jeté sur l'assaillant et l'a maintenu au sol jusqu'à l'arrivée des policiers. La femme, mère de deux jeunes enfants, a survécu. M. Bowlin est un camionneur pour Payne Trucking.

Carl Tafua de San Jose, Californie. - En traversant Santa Clara, en Californie, le 12 août, M. Tafua a remarqué une fillette de 8 ans criant en direction d'un homme qui la pourchassait. La fillette a couru vers le camion de M. Tafua et, une fois à bord, lui a dit qu'elle avait été kidnappée. M. Tafua a communiqué avec son répartiteur qui s'est mis en rapport avec la police, puis a noté le numéro d'immatriculation du suspect avant que celui-ci ne prenne la fuite. Le suspect fut plus tard arrêté et accusé d'avoir kidnappé la fillette deux jours plus tôt. M. Tafua est un camionneur pour Viking Freight.

Goodyear a instauré le programme Highway Hero en 1983 afin de valoriser les camionneurs professionnels parcourant l'Amérique du Nord qui, de par leurs actions courageuses et gestes d'assistance, sauvent des vies.

Source: Goodyear Tire & Rubber Company

 

Platine et palladium à Thetford Mines.

M. François Biron, président directeur général de Ressources Allican Inc. (BM-ALI) est heureux d'annoncer que les travaux d'exploration réalisés sur l'ensemble des propriétés minières au cours de l'année 2000, ont confirmé la présence appréciable des éléments du groupe platine (EPG) associé à la présence de minerai de chromite.

Les travaux d'exploration ont été réalisés par Ressources Allican Inc., en collaboration avec l'Institut Nationale de la Recherche Scientifique (INRS) et de la Commission Géologique du Canada (CGC), dans le cadre d'une entente signée au mois de juin 2000 pour une période de trois ans. Le groupe de travail consiste en l'équipe d'exploration d'Allican, et de l'équipe de l'INRS composée de deux chercheurs principaux, ainsi que deux étudiants au doctorat et une étudiante à la maîtrise.

Les travaux d'exploration ont consistés en une cartographie et un échantillonnage systématique de tous les indices de chromite connus, afin de déterminer la relation entre la minéralisation en chromite et les EGP sur les propriétés minières. De plus, une étude structurale détaillée du Complexe Ophiolitique de Thetford Mines (CTM) a été entreprise, notamment dans le but de retracer la nature exacte des contacts entre les différentes unités qui composent le complexe.

En plus des travaux décrits précédemment, une attention particulière a été accordé à l'indice Strarchrome. Allican a procédé à un échantillonnage, et à un rainurage de cet l'indice. Il est important de noter également la présence des autres éléments tel que le rhodium (Rh), l'osmium (Os), l'iridium (Ir) et le ruthénium (Rh) en plus faible teneur, généralement associé au platine et palladium.

Les prix du platine et du palladium étaient respectivement de 580 $US/Troy oz et de 805 $US/Troy oz sur les marchés de Londres en date du 19 mars 2001. Ces métaux précieux sont en demande dans les domaine de l'environnement (catalyseur d'automobile) et de l'informatique.

De plus, la cartographie et l'échantillonnage systématique de tous les indices connus sur la propriété ont permis de mettre en évidence un certain nombre d'autres indices minéralisés en EGP. En autre, des analyses d'échantillons choisis provenant des indices Nayes, American Chrome Jr, et Colline Nadeau révèlent des valeurs en EGP variant de 0,24 g/t Pt+Pd à 0,77 g/t Pt+Pd. Toutes ces valeurs ont été retrouvées dans des contextes géologiques similaires, au contact, ou près du contact, entre les pyroxénites et les dunites.

Toutes les analyses du programme d'exploration de Ressources Allican ont été réalisées par les laboratoires d'analyse de Chimitec Bondar Clegg de Val d'Or et Vancouver.

De plus, à l'automne 2000, Ressources Allican Inc a fait réaliser un programme géophysique par la Société GEOSIG de Québec. Le but de l'étude était de tenter de vérifier par géophysique la continuité du dépôt Hall de la propriété Coleraine. Des cibles de forages ont été identifiées et un programme de forage s'est déroulé du 16 février au 10 mars 2001 sur les propriétés Coleraine et Reed Bélanger. Les résultas de ces travaux seront communiqués ultérieurement.

Source: Ressources Allican Inc.


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