Nouvelles brèves Le Salon de l'Auto de Montréal du
9 au 18 janvier Même si les dates d'ouverture au public seront les mêmes que celles du Salon de Détroit, les journées réservées aux médias et aux dévoilements des nouveaux modèles ne seront pas en conflit. Les manufacturiers présenteront à Détroit leurs premières mondiales ou nord-américaines lors des journées réservées à cette fin et elles seront ensuite dévoilées en premières canadiennes au Salon International de l'Auto de Montréal le jeudi 8 janvier. "Ce retour en janvier, ajouté à la qualité du Salon de novembre dernier au Palais des Congrès, nous permettra de renouer avec le succès. On se souviendra que le Salon avait l'habitude d'attirer une moyenne de 240 000 visiteurs au cours de la décennie 1990-2000" déclarait le président du Salon, André Dorais. Le Salon International de l'Auto de Montréal est une réalisation de la Corporation des Concessionnaires d'Automobiles de Montréal (CCAM), un organisme à but non lucratif fondé en 1913. La Corporation regroupe près de 220 concessionnaires de la grande région métropolitaine. Son principal mandat consiste en une représentation de l'industrie de l'automobile auprès des instances gouvernementales. Elle fournit en outre à ses membres des renseignements et des services pertinents qui les aident à gérer leur commerce efficacement, dans le plus grand respect des lois, offrant ainsi un excellent service à la clientèle.
La persévérance d'un fabricant de maisons québécois
porte fruit au Japon Les réalisations de Demtec sont largement attribuables à sa volonté de collaborer étroitement avec les professionnels de l'industrie au Japon et de travailler avec les intervenants locaux. Qui plus est, son partenariat avec Yamatsugi s'est trouvé rehaussé lorsque Demtec a formé ce dernier dans l'assemblage de ses maisons usinées en panneaux. Le fabricant canadien de maisons a fait équipe avec une entreprise immobilière locale pour lancer une campagne de publicité dans les médias de l'endroit. Autre facteur clé de sa réussite : la persévérance, comme l'explique Alain Boulet, président de Demtec International, "en dépit du ralentissement du marché immobilier au Japon, nous y avons maintenu une présence active pendant plusieurs années, au cours desquelles nous avons élargi notre réseau de distributeurs et mis en oeuvre un rigoureux système de contrôle de la qualité. Cette approche nous a permis de prospérer dans un marché hautement concurrentiel et de mettre au point un système de logement qui répond aux exigences rigoureuses de nos clients japonais." La première présence de Demtec sur le marché japonais remonte à l'an 2000, lors de sa participation à une mission commerciale dirigée par la SCHL. Le voyage s'est avéré très productif, puisqu'on a présenté Demtec à plusieurs membres clés de l'industrie de l'habitation, y compris Yamatsugi, son partenaire commercial actuel. À vrai dire, la SCHL s'active depuis longtemps à faire connaître le fait que le Japon constitue un marché lucratif aux multiples possibilités pour les exportateurs canadiens de produits et de services résidentiels. À titre de deuxième marché le plus gros en importance au monde, avec plus de 1 million de logements mis en chantier annuellement, le Japon favorise la construction à ossature de bois, laquelle représente plus de la moitié des maisons neuves. "Il y a un intérêt grandissant pour les maisons à ossature de bois provenant du Canada et l'emploi de matériaux en bois massif dans les maisons japonaises", explique Stéphane Forget, conseiller en exportation pour la SCHL International au Québec. "De plus, le fait que les méthodes de construction canadiennes soient rapides et éconergétiques constitue un important avantage concurrentiel pour les exportateurs qui souhaitent percer le marché du Japon." La Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) est l'organisme national responsable de l'habitation. Depuis plus de 50 ans, la SCHL stimule la production de logements abordables et de qualité et augmente les choix en matière de logement dans l'ensemble du Canada, et par conséquent améliore la qualité de vie dans les collectivités du pays tout entier. Par l'intermédiaire de sa division SCHL International, la SCHL s'emploie à transmettre dans le monde son expérience et ses compétences en matière de financement de l'habitation, de politiques et d'analyse sur le logement, de technologies de l'habitation et d'aide au logement.
Application d'un nouveau concept de réseau électrique
enfoui à Boischatel Hydro-Québec réalise en ce moment une première application en réseau de ce concept. Il s'agit de la dernière étape en vue de l'homologation des équipements par les différents services publics impliqués. Cela se passe dans un nouveau développement résidentiel de la ville de Boischatel, le Domaine de la Chute Montmorency. Histoire de ne manquer aucune des étapes de cette première, Hydro-Québec a proposé une visite de chantier aux journalistes! En effet, on installe en ce moment les sous-bases hautes d'environ 1,8 m et d'un diamètre d'environ 60 cm qui seront enterrées sous peu et deviendront par conséquent invisibles. On érigera les lampadaires sur ces sous-bases : la partie basse de ces lampadaires (le 1,3 m émergeant du sol) combinée à la sous-base constitue la borne conjointe de distribution, dans laquelle chaque service trouve sa place, sans contraintes pour les autres services. Inspirés par les réflexions du Centre d'expertise et de recherche en infrastructures urbaines (CERIU), développés par Génilex et brevetés sous l'appellation Système MCM, les nouveaux équipements sont produits par le Groupe J.L. Leclerc inc. de Saint-Antoine-de-Tilly. Pour toutes les parties impliquées, y compris les partenaires que sont Bell Canada, Videotron, le promoteur immobilier Excavation RSR et la ville de Boischatel, il s'agit d'un concept ergonomique, économique, fiable et esthétique. L'enfouissement et le regroupement des réseaux dans ce nouveau quartier constituent une illustration concrète des efforts déployés par Hydro-Québec pour réduire les coûts de réseaux souterrains et faire en sorte que de plus en plus de nouveaux développements résidentiels choisissent une alimentation souterraine.
SST Montréal signe une entente de distribution avec un fabricant
américain Selon Alain Lortie, président de SST Montréal, CT-SPEC CAD serait présentement le seul logiciel nord-américain de sa catégorie bénéficiant d'un système de reconnaissance des attributs cartographiques Autocad, Micro-Station ou Arc View. Cette fonctionnalité unique à CT-SPEC CAD lui permet de s'intégrer instantanément dans la structure de plans actuellement utilisée par plus de 85% des municipalités sur la planète. L'installation de ce logiciel dans une municipalité résout la problématique actuelle d'incompatibilité des bases de données par la prise en charge, la validation, et le transfert des données d'inventaire et de diagnostic. De plus, notre produit permet de gérer le cycle opérationnel complet : inspection et nettoyage des conduites, réhabilitation des structures, vérification des travaux ainsi que mise à jour des registres d'état des conduites et des regards.
Un premier groupe d'étudiants cris au centre Polymétier
de Rouyn-Noranda Cette formation se réalise dans le cadre de l'entente Apatisiiwin, découlant de la Paix des Braves signée le 7 février 2002. L'entente a comme objectif principal de supporter la formation et l'embauche de 150 Cris à Hydro-Québec d'ici 2017. Un premier groupe de 12 étudiants ont débuté en septembre dernier leur formation de deux ans afin d'obtenir un diplôme d'études professionnelles en "électromécanique de systèmes automatisés". La société Apatisiiwin est constituée de cinq représentants cris et de trois représentants d'Hydro-Québec. Ces intervenants travaillent en étroite collaboration afin de supporter la Commission scolaire Crie dans ses efforts de formation et de recrutement des futurs étudiants cris. Un total de 14 employés cris travaillent présentement dans les installations de l'entreprise. Tous les efforts seront mis en place par Hydro-Québec et la société Apatisiiwin pour atteindre l'objectif de 150 employés cris. Trois autres types d'emplois font partie de l'entente Apatisiiwin. La Commission scolaire Crie a entrepris des démarches pour identifier les institutions d'enseignement pouvant offrir les formations professionnelle et technique permettant d'accéder à ces emplois. Hydro-Québec est heureuse de la dynamique mise en place entre les divers partenaires impliqués dans l'atteinte d'un objectif commun.
Découverte d'un minéral indicateur de diamant dans le
secteur de Lebel-sur-Quévillon La détection de ce minéral ainsi que de plusieurs autres minéraux propices à un potentiel diamantifère, dont quatre autres pyropes, provient des résultats d'analyses à la microsonde des onze premiers échantillons des campagnes régionales, effectuées au cours de l'année 2003 par le Fonds de prospection, dans les secteurs de Lebel-sur-Quévillon et de Chibougamau. Au total, 180 échantillons ont été prélevés lors de ces campagnes, supervisées par une équipe de professionnels. Le Fonds de prospection minière jamésien rendra public l'ensemble des résultats sous forme de rapport lorsque ceux-ci auront été reçus et interprétés. Ce résultat préliminaire permet de franchir une étape supplémentaire vers la reconnaissance du potentiel diamantifère de l'ensemble du territoire de la Baie-James. De plus, ce dernier justifie la poursuite du développement de nos connaissances dans le domaine de l'exploration diamantifère. Le Fonds de prospection minière jamésien est un acteur important pour le développement du potentiel minéral sur le territoire de la Baie-James, et ce, grâce à la mise en place de son laboratoire de traitement de dépôts glaciaires, à ses liens stratégiques avec des centres de recherche du Québec et à la formation de main-d'oeuvre spécialisée. Le Fonds compte sur du personnel compétent qui comprend quatre géologues, dont deux spécialistes en géologie du quaternaire.
Des héros du camionnage récompensés pour leur
bravoure Clifford Ripley de Spruce Grove (Alberta) et Paul Pelletier de Saskatoon (Saskatchewan) se sont vus remettre le Prix 2003 des héros canadiens du camionnage Bridgestone/Firestone pour le sauvetage d'Anthony Ishmael le 14 novembre 2002. Messieurs Ripley et Pelletier se sont empressés d'aller au secours d'Ishmael qui était coincé dans un véhicule en flammes sur l'autoroute 17, près de Wawa (Ontario). Incapable d'ouvrir la porte du passager, Ripley a saisi une chaîne qu'il a attachée à son camion puis à la porte de la fourgonnette pour ouvrir celle-ci de force. Ripley et Pelletier ont ensuite coupé la ceinture de sécurité qui retenait Ishmael, puis l'ont tiré hors de danger à peine quelques secondes avant que le véhicule ne prenne feu. Depuis près de cinquante ans, le Prix des héros canadiens du camionnage Bridgestone/Firestone est décerné annuellement à un camionneur professionnel qui a fait preuve de courage, de présence d'esprit et d'intégrité dans une situation d'urgence. "Chaque année, nous entendons des histoires incroyables et édifiantes au sujet de camionneurs de notre pays qui ont sauvé des vies en posant des gestes de bravoure", déclare Dave Schecklesky, directeur de la commercialisation des pneus, Bridgestone/Firestone Canada Inc. "Cette année ne fait pas exception. Anthony Ishmael est encore en vie aujourd'hui grâce à l'héroisme et à la promptitude à agir de Clifford Ripley et de Paul Pelletier."
Structal obtient un contrat de 3 000 000 $ aux États-Unis La fabrication des éléments de charpente s'échelonnera entre les mois de janvier et mai 2004 tandis que les livraisons prendront fin en octobre prochain. Ces ponts routiers composés de poutres en "I" sont situés dans les comtés de Salem, Gloucester et Camden. "Le savoir-faire que l'équipe de Structal a démontré au cours des dernières années lors de la réalisation de projets complexes ainsi que notre excellente réputation nous ont permis d'obtenir cet important contrat", a expliqué le directeur des ventes de Structal, Robin Lapointe. L'usine de Structal à Québec a collaboré à de nombreux projets d'envergure au cours des dernières années, notamment les nouvelles bretelles d'accès de l'aéroport Lester B. Pearson de Toronto de même que plusieurs sections du Central Artery Tunnel de Boston.
Sabat offre la suite logicielle Quest La suite Quest Solutions comprend le Quest Estimator pour le bâtiment, et Quest EarthWork pour les travaux de génie civil et la construction de routes. De plus, Quest offre Bidtrack, destiné au suivi des soumissions et des conditions du marché.
Création du Conseil des Entreprises de Services Environnementaux
(CESE) Le Conseil des entreprises de services environnementaux (CESE) regroupe les plus importantes firmes spécialisées dans l'exécution de services environnementaux. L'activité principale de ces entreprises consiste à offrir des services spécialisés dans l'analyse, la réduction, la récupération, le transport, le recyclage, le traitement, la valorisation et l'élimination des matières dommageables à l'environnement. Ainsi, ces établissements fournissent des services de gestion des déchets tels que les services de collecte, de traitement et d'élimination des déchets dangereux et non-dangereux, les services d'assainissement, les services de pompage de fosses septiques et la récupération de matériaux. Prenant en considération l'importance des défis qui se dessinent pour assurer une saine gestion de ces divers déchets pour l'avenir, ce regroupement vise à faire connaître les enjeux auxquels il devra faire face et à sensibiliser les autorités aux contraintes qui lui sont propres. Le secteur de l'environnement, qui est un des plus importants en terme de création d'emplois, doit cependant bâtir son image qui est trop souvent associée aux problèmes environnementaux plutôt qu'aux solutions qu'il y apporte. Le CESE, en regroupant l'essentiel des forces vives de l'industrie, veut devenir un interlocuteur valable et crédible dont la principale préoccupation est de démontrer aux divers décideurs qu'ils sont les premiers intéressés dans la mise en place de solutions réalistes et viables pour assurer la protection de l'environnement. Sa première intervention officielle en tant que porte-parole de l'industrie a eu lieu le 2 décembre dernier à Laval alors que Pierre R. Lachance, président du CESE, présentait un mémoire à la Commission indépendante de consultation publique de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) sur le projet de Plan métropolitain de gestion des matières résiduelles de la Communauté métropolitaine de Montréal (PMGMR).
L'École Polytechnique de Montréal contribue à
la compétitivité des entreprises en usinage haute performance Le Service d'appui à l'industrie en usinage haute performance est le fruit d'un partenariat entre le MDER, l'Association québécoise de l'aérospatiale (AQA) et Polytechnique. Selon Monsieur Papineau, "les entreprises doivent concurrencer à l'échelle mondiale, ce qui les oblige à se démarquer par rapport à leurs compétiteurs. Dans cet environnement, la capacité d'innover devient un facteur déterminant. Les entreprises doivent commercialiser et produire des biens et des services de qualité avec une technologie et des processus de plus en plus performants. Le Service d'appui représente une action tangible pour lequel le MDER a donné son aval en y contribuant financièrement. Productivité accrue et amélioration continue sont deux éléments clés qui sous-tendent le Service d'appui à l'industrie en usinage haute performance." En plus du Service d'appui, le MDER, de concert avec le Fonds québécois de la recherche sur la nature et les technologies a donné une recommandation favorable au ministère de l'Éducation du Québec, qui a également contribué à la création du Laboratoire de recherche en y investissant un montant de près de 2 millions $. Le Laboratoire de recherche en fabrication virtuelle se divise en deux salles : celle des machines-outils à grande vitesse et celle de la métrologie. Dans la première, qui mesure 2400 pi2, on y trouve cinq machines-outils à contrôle numérique obtenues grâce, entre autres, à des contributions de nos partenaires en technologie, sur lesquelles des travaux de recherche et développement en usinage haute performance sont réalisés pour le bénéfice des entreprises. Chaque machine dispose de sa propre dalle de béton de trois pieds d'épaisseur de façon à ne pas transmettre de vibrations aux autres machines. Dans la salle de métrologie, de 1000 pi2, on retrouve des instruments permettant de mesurer les dimensions et les états de surface des pièces usinées avec une précision de l'ordre du micromètre, ce qui a nécessité la construction d'une salle à environnement contrôlé en température à l'épreuve des vibrations et des poussières. Selon Monsieur Papineau, "Polytechnique a octroyé une somme substantielle de 1,2 million $ dans la création du Laboratoire de recherche en fabrication virtuelle, car nous sommes convaincus que la recherche et développement ainsi que l'innovation sont au coeur de la réussite. C'est aussi grâce à des partenariats et à des maillages entre l'entreprise privée et le secteur public que les établissements d'enseignement universitaire réussissent à tirer leur épingle du jeu en matière de financement de la recherche. Un tel projet nécessite l'apport de plusieurs partenaires, notamment des partenaires en technologie comme Huron Canada, Mitutoyo et Mitsui Seiki." "La recherche et le développement étant au coeur des activités de notre entreprise, Pratt & Whitney Canada est fière d'avoir été, avec Polytechnique, parmi les premiers instigateurs du Laboratoire. Notre investissement de 250 000 $ démontre que nous croyons fermement que l'expertise des chercheurs et du personnel de Polytechnique nous permettra d'optimiser le rendement de nos propres équipements de fabrication et de développer de nouvelles méthodes d'usinage", souligne Monsieur Bellemare. Selon Madame Corbeil, "la FCI est fière de contribuer à l'avancement du savoir et de rehausser la qualité de la recherche et de la formation dans les établissements universitaires de toutes les régions du Canada. Notre apport de près de 2 millions $ dans ce Laboratoire correspond en tous points à notre mission. Nous sommes d'autant plus heureux que ces infrastructures s'allient à un service concret d'appui à l'industrie."
Le Groupe Conseil Enviram et Gauthier Biancamano Bolduc unissent leurs
forces! La société Enviram de Québec, est reconnue depuis plus de 18 ans pour l'excellence de ses services dans de nombreux secteurs liés à l'urbanisme, à l'architecture de paysage ainsi qu'à l'environnement. Elle a entre autres participé à la réalisation du nouveau terminal de croisière dans le Port de Québec ainsi qu'à l'implantation du Corridor multi-fonctionnel des chemineaux et du littoral qui traverse la ville de Québec d'est en ouest et du nord au sud. Le groupe GBB de Montréal avec plus d'une cinquantaine de spécialistes s'est taillé, quant à lui, une solide réputation dans ces mêmes domaines en offrant une approche unique et diversifiée auprès de ses nombreux clients dont plus d'une centaine de municipalités à travers le Québec. Comme le mentionne Christian Côté, directeur d'Enviram : "Grâce à notre regroupement avec GGBB, nous pouvons désormais puiser à même les ressources de 70 spécialistes d'un savoir-faire inégalé, tout en consolidant notre vaste gamme d'expertises déjà offerte et en s'assurant une position encore plus concurrentielle à Québec et dans l'est de la province". Afin d'assurer une continuité auprès de leurs nombreux clients, Enviram et GGBB poursuivront cependant leurs opérations sous leur nom respectif.
La Mutuelle des municipalités du Québec voit le jour!
En effet, après avoir reçu un avis favorable de l'Inspecteur général des institutions financières (IGIF) sur la viabilité financière de la MMQ, le ministre a demandé à ce dernier d'émettre les lettres patentes pour la création officielle de la Mutuelle des municipalités du Québec. Cette procédure conduira à l'émission du permis nécessaire à la MMQ pour démarrer ses activités d'assurance. La Fédération Québécoise des Municipalités (FQM) a consulté plusieurs spécialistes en assurance, en actuariat et en finance afin de trouver la meilleure solution aux problèmes de l'assurance municipale. La rareté de l'offre d'assurance et la complexité grandissante du risque municipal placent les municipalités en position de grande vulnérabilité face aux assureurs traditionnels. Grâce à la MMQ, les municipalités verront leurs primes d'assurance se stabiliser, elles pourront contrôler leurs frais de règlement de sinistre et s'offrir des programmes de gestion et de prévention adaptés au monde municipal. Cette solution est offerte à toutes les municipalités et villes de moins de 25 000 habitants, aux MRC, ainsi qu'à leurs organismes mandataires.
Deere achètera les actions restantes de Nortrax, Inc. La transaction porte la participation de Deere dans Nortrax, Inc. à 83% en date du 16 décembre 2003. Deere a indiqué qu'elle a l'intention d'acquérir la participation restante de 17% dans Nortrax, Inc. et la participation restante de 60% dans Nortrax Investments, Inc. lorsque les options d'achat viendront à échéance en mars 2004. John Deere (Deere & Company; DE à la Bourse de New York) est le plus important fabricant mondial d'équipement agricole et forestier ainsi qu'un fournisseur de premier plan de matériel de construction et de matériel pour l'entretien des pelouses, des sols et des terrains. John Deere fabrique également des moteurs utilisés dans les machineries lourdes et propose des services financiers ainsi que d'autres services connexes de soutien aux activités essentielles.
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