Nouvelles brèves
Le Gouvernement de l'Ontario s'attaque aux nids de poule Étant donné les variations de températures en Ontario qui ont oscillé cet hiver entre le froid polaire et le dégel, le gouvernement de l'Ontario s'attaque en ce moment aux réparations des nids de poule sur les routes provinciales du nord-est de l'Ontario, a déclaré Harinder Takhar, le ministre des Transports. "Les routes ontariennes sont parmi les plus sécuritaires en Amérique du Nord, mais cet hiver a été particulièrement rude et l'alternance thermique a détruit nos chaussées", a déclaré Monsieur Takhar. "Étant donné que les nids de poule peuvent survenir assez rapidement, les autoroutes ontariennes sont patrouillées et inspectées régulièrement." Les nids de poule se forment lorsque l'eau sous la surface de la chaussée gèle et prend de l'expansion ce qui a pour effet de séparer les couches de la chaussée. Le ministère des Transports est chargé d'entretenir environ 16 500 km de routes provinciales; si on les plaçait bout à bout, ces autoroutes traverseraient deux fois le Canada. Chaque année, la province investit environ quatre millions $ et utilise près de 17 000 tonnes de matériaux de colmatage assez pour remplir 850 camions à benne pour réparer les nids de poule de l'Ontario. "Nous sommes toujours à la recherche de matériaux et de méthodes de construction plus efficaces et plus durables", a déclaré Monsieur Takhar. "Notre gouvernement travaille de pair avec des universités et des collèges à travers l'Ontario pour mettre au point de nouvelles chaussées plus durables aux concepts novateurs." Les réparations sont particulièrement courantes durant les mois de printemps lorsque les nids de poule font leur apparition. Il est conseillé aux automobilistes de ralentir lorsqu'ils traversent une zone de travaux ou des équipes d'entretien colmatent les nids de poule ou s'adonnent à d'autres travaux routiers. La plupart des réparations de nids de poule ne nécessitent que quelques minutes de travail, et une fois que les ouvriers à l'entretien sont bien à l'écart de la chaussée, la route est immédiatement rouverte à la circulation.
SNC-Lavalin obtient un contrat de services pour le pipeline Trans-Alaska SNC-Lavalin a obtenu un contrat de 28 millions $US d'Alyeska Pipeline Service Company, pour fournir des services d'ingénierie détaillée, d'approvisionnement et de gestion de la construction (IAGC) destinés au projet de reconfiguration stratégique de l'oléoduc de Trans-Alaska Pipeline System. L'Alyeska Pipeline Service Company, exploitant du Trans-Alaska Pipeline System (TAPS), a reçu l'approbation des propriétaires de l'oléoduc pour investir plus de 250 millions $US dans un projet visant à améliorer les stations de pompage du pipeline. SNC-Lavalin fournira des services d'IAGC à partir de son bureau d'Edmonton, en utilisant son expertise en stations de pompage, et fera appel à l'expertise des ingénieurs locaux pour concevoir, planifier et gérer le projet. "Nous sommes heureux de travailler au projet de reconfiguration stratégique de l'oléoduc TAPS", a déclaré Krish Krishnamoorthy, vice-président directeur du Groupe SNC-Lavalin inc. "C'est là un exemple de plus de notre savoir-faire technique et de notre expertise en gestion de projet. Si SNC-Lavalin a pu obtenir ce contrat, c'est principalement grâce à sa capacité à réaliser des économies sur les coûts d'investissement, tout en réduisant les coûts d'exploitation et en optimisant les coûts du cycle de vie des installations par des méthodes d'amélioration de la valeur." L'oléoduc TAPS transporte le pétrole brut à partir des champs pétrolifères du versant nord de l'Alaska sur une distance de 800 milles traversant la toundra, des montagnes escarpées et des cours d'eau, fleuves et rivières, jusqu'à Valdez sur les côtes du Prince William Sound. Le projet comprend l'installation de pompes électriques de pétrole brut dans quatre stations de pompage critiques, ainsi que l'augmentation des systèmes d'automatisation et l'amélioration des systèmes de commande.
Groupe ADF Inc. conclut la vente de l'usine ADF Industries Lourdes à Lachine Groupe ADF Inc. annonçait récemment la conclusion de la vente de l'usine de fabrication située à Lachine au Québec. La compagnie TIL Cintreurs de tubes Int'l Ltée, la société-mère de Cintube Ltée, se porte acquéreur du complexe manufacturier ADF Industries Lourdes Inc. TIL est une entreprise privée spécialisée dans le cintrage de précision, de tubes, tuyaux, poutres et profilés. Cette transaction a pris la forme de la vente d'actions d'ADF Industries Lourdes Inc à TIL Cintreurs de tubes Int'l. La Société n'obtient aucune entrée de fonds, et améliore son bilan n'étant plus tenue de consolider les résultats de cette filiale avec ceux de la Société, et ce avec effet au début de décembre 2003, date de la signature de la lettre d'intention avec l'acquéreur actuel. La date effective de cette transaction est au 31 janvier 2004. Rappelons que l'usine de fabrication de l'ancienne usine Dominion-Bridge à Lachine, fut acquise en décembre 1998 par Groupe ADF Inc, en partenariat avec le Fonds de solidarité des travailleurs F.T.Q. du Québec. En décembre 2003, Groupe ADF Inc, de concert avec le Fonds, annonça la signature d'une lettre d'intention relativement à la vente de cette usine avec l'acquéreur actuel. Les opérations d'ADF sont ainsi centralisées à ses installations de Terrebonne, à partir desquelles l'entreprise est capable d'entreprendre la fabrication de projets complexes et de grande envergure. La vente de cette usine compte parmi l'une des phases importantes du plan de restructuration de la Société et permet à la direction de se concentrer sur les activités-clés. Le programme de rationalisation se poursuit depuis l'automne 2002. "Nous sommes satisfaits de cette transaction qui résulte en la relance des opérations de cette usine centenaire, et qui permet à quelque 40 personnes de grande expérience de conserver leurs emplois dans un secteur d'activités très spécialisé", ajoute Jean Paschini, président du conseil et chef de la direction. Le secteur de la construction non résidentielle en Amérique du Nord, et plus particulièrement le marché des charpentes métalliques complexes, demeure déprimé malgré les signes de reprise éventuelle. La Société continue de cibler et de soumissionner sur des projets offrant de bonnes marges de profit.
Lafarge annonce l'acquisition d'actifs de la société américaine "The Concrete Company" dans le Sud-Est des États-Unis Lafarge Building Materials Inc., filiale à 100% de Lafarge S.A., qui détient les actifs de l'ex-société Blue Circle aux États-Unis dans le ciment et le béton prêt à l'emploi, acquiert les activités ciment et béton prêt à l'emploi de la société "The Concrete Company". Cette société, dont le siège est situé à Colombus en Géorgie, est à la fois un gros importateur de ciment et un producteur de béton prêt à l'emploi, de béton prémoulé et de granulats dans la région du Sud-Est des États-Unis. Les actifs acquis comprennent un terminal d'importation de ciment d'une capacité annuelle de 0,9 million de tonnes, 2 terminaux de distribution, 46 centrales à béton avec un volume annuel de ventes d'environ 1,2 million m3 de béton, ainsi que des équipements connexes. "Cette acquisition présente des synergies très importantes avec nos activités existantes dans la région, et s'inscrit dans la stratégie à long terme de Lafarge dans le Sud-Est des États-Unis", à déclaré Bernard Kasriel, directeur général de Lafarge. "Ces actifs, qui viennent compléter la présence du Groupe dans le ciment et le béton prêt à l'emploi dans cette région, nous permettront de desservir une base élargie de clients. Cela nous place par ailleurs dans une position extrêmement favorable pour la poursuite de notre croissance en Géorgie, en Alabama et sur les marchés du Golfe du Mexique." Les actifs rachetés seront intégrés dans les activités de Lafarge Building Materials Inc., et gérés par Lafarge North America aux termes de l'accord de gestion en vigueur.
SNC-Lavalin obtient le contrat d'une nouvelle mine d'or au Venezuela SNC-Lavalin Engineers & Constructors Inc. (SLE & C) a obtenu un contrat de services d'ingénierie, d'approvisionnement et de gestion de construction pour le projet de mine d'or de Las Cristinas de Crystallex International Corporation, au Venezuela, suite à un appel d'offres concurrentiel. Las Cristinas est situé à environ 670 km au sud-est de Caracas dans l'État de Bolivar, qui produit la majeure partie de l'or du pays. Ce contrat représente des honoraires autour de 25 millions $. La nouvelle installation, qui utilisera une technologie classique d'exploitation minière et de traitement de l'or, devrait traiter 20 000 tonnes de minerai par jour. "Ce contrat démontre notre leadership en Amérique du Sud et dans le secteur aurifère, plus particulièrement en grands projets et nous sommes heureux de continuer à travailler pour Crystallex dans le cadre de ce projet", a déclaré Pierre Duhaime, vice-président directeur de SNC-Lavalin.
La formation en gestion de la construction se donne en ligne Le Conseil sectoriel de la construction (CSC) s'apprête à donner une formation en ligne aux cadres de la construction par suite de l'approbation de 663 000 $ de financement par le gouvernement fédéral. Le CSC collabore avec l'Association canadienne de la construction (ACC) à l'adaptation au milieu de l'apprentissage en ligne de son Programme de certification Sceau d'or, qui offre une reconnaissance professionnelle aux gestionnaires de projets, aux chefs de chantier et aux estimateurs. "L'apprentissage à distance assisté par ordinateur a beaucoup d'avenir dans le domaine de la formation en construction", déclare Dennis Ryan, directeur des Ressources humaines de l'ACC, "et l'initiative d'apprentissage en ligne du Sceau d'or témoigne de façon prometteuse de la volonté de notre industrie d'aller de l'avant collectivement en trouvant des solutions qui favorisent l'éducation, l'amélioration des compétences et la formation de la main-d'oeuvre canadienne de la construction." Les cours seront offerts à l'aide du service d'apprentissage à distance du CSC, qui permet aux groupes patronaux et syndicaux, aux associations de la sécurité de la construction, aux établissements d'éducation et de formation et à de nombreux autres intervenants de créer et de donner une éducation et une formation interactive sur le Web. Le projet de téléapprentissage du Sceau d'or est l'une des nombreuses initiatives en matière de ressources humaines que prend le Conseil sectoriel de la construction pour répondre aux besoins en ressources humaines actuels et futurs de l'industrie de la construction du Canada. Le financement provient du Programme des conseils sectoriels, du gouvernement du Canada. Le CSC est un organisme de partenariat à but non lucratif et indépendant créé en 2001 et composé de représentants syndicaux et patronaux. L'ACC défend les intérêts du secteur de la construction non résidentielle.
Lancement de la Semaine minière du Québec 2004 Le président du conseil de l'Association minière du Québec, Mark Joncas, procédait récemment, à Chibougamau, au lancement provincial de la 13e Semaine minière du Québec qui s'est déroulée du 26 avril au 2 mai sous le thème "Les métaux et les minéraux améliorent notre qualité de vie". Le lancement de la Semaine minière du Québec a eu lieu en présence du ministre des Ressources naturelles, de la Faune et des Parcs du Québec, Pierre Corbeil, et des porte-parole des représentants des partenaires de cet événement, l'Association minière du Québec, l'Association de l'exploration minière du Québec, le ministère des Ressources naturelles, de la Faune et des Parcs du Québec, le Fonds Explor-Action ainsi que l'Institut canadien des mines, de la métallurgie et du pétrole. Le lancement officiel de la Semaine minière du Québec se fait à chaque année dans différentes régions du Québec. Cette année, les membres du comité organisateur sont particulièrement heureux de procéder à ce lancement à Chibougamau. Ce lancement provincial de la Semaine minière du Québec se fait dans le cadre d'une cérémonie visant à souligner de façon particulière le 50e anniversaire de la ville de Chibougamau dont le thème est "Chibougamau : 50 ans, du cuivre à l'or, vers le diamant". Le président de l'AMQ, Mark Joncas, a indiqué que ce thème illustre bien à la fois la longévité du camp minier de Chibougamau, l'histoire économique et sociale de cette municipalité grandement associée à l'extraction du cuivre et de l'or, et la volonté de sa population de continuer à développer son potentiel minier dans le futur. La diversité des ressources minérales de notre sous-sol est reconnue mondialement tant pour l'or, les métaux usuels, les métaux ferreux que pour les minéraux industriels. De plus, de récents indices de diamant et de platine s'ajoutent à ce potentiel remarquable. En plus de la diversité de ses ressources minérales, le Québec minier profite aussi de l'utilisation de ressources technologiques de pointe et de l'expertise de ses ressources humaines, pour maintenir et développer une position concurrentielle sur les marchés. "L'activité minière au Québec, c'est une force économique majeure", a rappelé le président du conseil de l'Association minière du Québec. "Ses mines, ses fonderies, ses affineries, ses compagnies de forage et d'exploration, ses centres de recherche, ses entrepreneurs et ses consultants génèrent plus de 50 000 emplois directs et des retombées considérables dans les régions et dans les grands centres urbains. La tenue de la Semaine minière du Québec s'avère une excellente occasion pour démontrer à la population toute l'importance de cette industrie pour le développement de notre société et pour sensibiliser les gens au fait que les métaux et les minéraux améliorent notre qualité de vie!"
Thermo Capital Partners acquiert les activités commerciales de Globalstar Globalstar, le fournisseur de service téléphonique par satellite le plus populaire au monde, annonçait récemment la fin de sa restructuration financière suite à l'acquisition formelle de ses principales activités commerciales et de la majorité son actif par Thermo Capital Partners LLC. Au moment de clore ce processus, les nouveaux propriétaires de Globalstar ont également annoncé des mesures d'ensemble et des engagements additionnels, lesquels visent à assurer la stabilité financière à long terme de Globalstar en plus de stimuler une croissance beaucoup plus considérable que jamais. Comme on s'y attendait en raison de l'entente d'acquisition préliminaire conclue en décembre 2003, Thermo détient maintenant 81,25% de la nouvelle compagnie Globalstar contre un investissement de 43 millions $; le reste des capitaux propres sera distribué aux créanciers de la compagnie Globalstar d'origine Globalstar, L.P. (GLP). Grâce à cette acquisition, les principales activités de Globalstar sont maintenant exclues du processus de mise en faillite. "Ce jour marque incontestablement un grand point tournant pour Globalstar, a déclaré Jim Lynch, le directeur général de Thermo. Malgré ses modestes débuts, Globalstar maintenant à sa cinquième année de service ininterrompu est de loin la société la mieux placée, grâce à la meilleure technologie, pour profiter des occasions que présente le marché des communications mobiles par satellite en accordant une attention accrue à ses clients et à leurs besoins en matière de télécommunications." Thermo a aussi annoncé plusieurs nouvelles mesures et stratégies d'ensemble destinées à stimuler la croissance de la société au cours des mois et des années à venir dont : la mise en orbite des satellites de réserve, un service amélioré dans les Caraïbes et le lancement de nouveaux produits et services. À la base de ces projets se trouve un nouveau plan de développement que Globalstar et Thermo ont établi au cours des derniers mois qui porte principalement sur la redistribution des ressources de l'entreprise afin de mettre davantage l'accent sur les besoins de la clientèle, particulièrement dans les marchés clés de la société, tels que les industries pétrolière et gazière, maritime, forestière et de transport. De plus, Globalstar a déjà embauché du personnel professionnel, lequel offrira une expertise et des habiletés nouvelles au service des ventes et de la commercialisation de la compagnie; elle engagera aussi d'autres professionnels pour accroître les efforts de promotion de ses ventes. Le service par satellite de Globalstar continuera d'être commercialisé et vendu sous le nom de Globalstar. De plus, les partenaires fournisseurs des services de la société partout dans le monde continueront de servir les clients de Globalstar et leur offriront les nouveaux produits et services qui seront lancés dans le futur. Globalstar offre des services de télécommunication par satellite pour la transmission de la voix et de données de presque n'importe quel endroit dans plus de 120 pays au quatre coins du globe.
INFRA 2004 - 10e édition d'un rendez vous incontournable ! L'événement, qui se tiendra à l'hôtel Omni Mont-Royal de Montréal du 15 au 17 novembre prochain, propose une réflexion toujours actuelle sur les défis que pose la pérennité des infrastructures urbaines. Sous le thème "Les infrastructures urbaines : actifs à gérer et défi technologique", les participants sont invités cette année à porter leurs réflexions sur les étapes menant à une planification compétente des investissements en matière de réfection d'infrastructures urbaines de même que sur les avenues offertes pour assurer leur financement. Les participants sont donc invités à découvrir et partager les méthodes qui facilitent l'élaboration d'une analyse rigoureuse de la situation, la recherche de solutions innovatrices et efficaces mais aussi les meilleures pratiques en auscultation et réhabilitation. Les personnes intéressées à présenter une conférence dans le cadre d'INFRA 2004 sont invitées à consulter l'appel des conférenciers au www.ceriu.qc.ca ou à contacter Stéphanie Boivin au (514) 848-9885 (poste 270).
Georgia Pacific et Boralex concluent la vente de la centrale de Athens Georgia Pacific Corp. et Boralex inc. annonçaient récemment qu'elles ont conclu la vente des équipements de Boralex Athens Energy Inc., qui exploitait une centrale à base de résidus de bois située à Athens, dans l'État du Maine. Ces équipements seront relocalisés à l'usine de Georgia-Pacific de Old Town, Maine, complétant ainsi une étape importante du plan établi par l'État du Maine et Georgia Pacific pour la réduction des coûts d'énergie de cette papetière. Cette transaction constitue une autre étape du processus établi grâce à une loi de l'État du Maine l'autorisant à acquérir le site d'enfouissement de West Old Town, permettant ainsi à Georgia Pacific de dégager les fonds nécessaires pour l'achat et la réinstallation de la centrale de Athens. La clôture de cette transaction fait suite à l'annonce de février concernant l'entente de services d'exploitation intervenue entre Casella Waste Systems et l'État du Maine, laquelle autorise Casella à diriger les opérations du site d'enfouissement de West Old Town. Georgia-Pacific a reçu 26 millions $US pour la vente du site d'enfouissement à l'État et utilise ces fonds pour l'achat et la réinstallation des équipements de la centrale de Athens dans le but de réduire ses coûts d'énergie un des obstacles les plus importants à la survie économique de la papetière. "Ceci représente la finalisation d'un processus qui reflète l'exemple le plus réussi de partenariat public et privé. Sans la collaboration de l'État, de Boralex, de Casella ainsi que du syndicat, la survie de la papetière de Old Town et de ses 450 emplois aurait été menacée. La créativité et la persévérance de toutes les parties impliquées dans cette transaction complexe en ont assuré le succès", a déclaré Ralph Feck, vice-président de Old Town Mill. "La vente des équipements de la centrale de Athens, laquelle est fermée depuis deux ans, s'inscrit dans la mise en oeuvre du plan stratégique de Boralex visant à maximiser la performance de ses centrales américaines à base de résidus de bois et bénéficiera aux opérations de l'usine de Old Town", a souligné Claude Audet, président et chef de l'exploitation de Boralex.
Chute de la valeur des permis de construction en mars, au Canada Dans l'ensemble, les intentions de construction ont diminué en mars. Une chute de la valeur des permis de construction non résidentielle a largement effacé le gain enregistré dans les projets de construction de logements. Les constructeurs ont pris pour 4,2 milliards $ de permis de bâtir en mars, en baisse de 4,2% par rapport à février. La valeur des permis de construction résidentielle s'est élevée à 2,91 milliards $ en mars, en hausse de 4,5% par rapport à février et un niveau tout juste inférieur au sommet de 2,95 milliards $ atteint en décembre 2003. À l'opposé, la valeur des permis de construction non résidentielle a reculé de 19,4% pour se fixer à 1,29 milliard $, soit son plus bas niveau depuis avril 2002. Cette régression est principalement attribuable à un recul des projets de construction institutionnelle et commerciale. Le secteur non résidentiel affiche une tendance à la baisse depuis juillet 2003. Sur le plan trimestriel, la vigueur du secteur résidentiel a porté la valeur globale pour les trois premiers mois de 2004 à 12,9 milliards $, en hausse de 6,2%. De janvier à mars, les constructeurs ont pris pour 8,6 milliards $ de permis de construction résidentielle, soit 14,6% de plus qu'à la même période en 2003. À l'opposé, la valeur des permis de construction non résidentielle a diminué de 7,5% pour s'établir à 4,3 milliards $. À l'échelon régional, Montréal et Vancouver ont affiché les plus fortes progressions par rapport à 2003, grâce à la demande de nouveaux logements multifamiliaux dans les deux régions. Dans le secteur non résidentiel, une augmentation dans chaque composante a contribué à l'excellent résultat affiché à Montréal, tandis qu'à Vancouver, la hausse était attribuable uniquement aux immeubles à vocation commerciale. Les régions de Toronto et de Hamilton ont enregistré le recul le plus marqué par rapport à 2003, en raison d'une baisse de la valeur des permis de construction non résidentielle. C'est au Québec que la croissance au premier trimestre a été la plus forte, la valeur des permis ayant crû de 37,8% par rapport au même trimestre l'année dernière pour se fixer à 1,1 milliard $, à la suite de hausses dans chacune des trois composantes.
La Mini BajaMD East de la SAE s'est déroulée à Bromont, près de Montréal La compétition étudiante Mini BajaMD East de conception mécanique organisée par la Society of Automotive Engineers (SAE) s'est déroulée au Centre de ski Bromont, à Bromont, du 6 au 8 mai dernier. Soixante-deux équipes d'étudiants en ingénierie étaient inscrites, dont 17 du Canada Championne en titre et institution d'accueil, l'École de Technologie Supérieure (ETS) de Montréal a remporté la compétition l'an dernier et en 2000. L'équipe locale de l'Université du Québec à Trois-Rivières s'est classée 7e lors de la compétition de 2003, qui a eu lieu à Morgantown, en Virginie Occidentale. La University of Central Florida a fini en 2e place lors de la compétition Mini Baja East de l'année dernière. Tous les véhicules sont propulsés par un moteur Intek de Briggs & Stratton Corporation qui apporte son généreux soutien à la Mini BajaMD pour la 25e année.
|
© InfraStructures - Tous droits réservés - All rights reserved |